REVUE DE PRESSE  CCI ALGERO-FRANÇAISE DU 17 OCTOBRE 2016





Lundi, 17. Octobre 2016

 

 

SOMMAIRE   

Marché & Economie.................................................................................................................. 2

 

Accord-cadre Algérie-Chine : Une assise au modèle de croissance....................................... 2

M. Bouchouareb reçoit une délégation du groupe chinois CSCEC......................................... 2

 

Algérie-Chine : Le yuan comme monnaie d’échange............................................................. 2

Journée mondiale de l’alimentation : remporter la bataille de l’eau.................................... 3

 

Une trentaine de diplomates accrédités à Alger en visite au FCE......................................... 4

Prix à l’importation au 1er semestre : Recul quasi général................................................... 4

 

Commission consultative de l’ITSO : L’Algérie désignée représentant d’Afrique du Nord.... 5

Énergies renouvelables : L’exploitation entrera en phase active à partir de 2017............... 5

Commerce.................................................................................................................................. 5

 

Condor Electronics : une stratégie de déploiement à l’international.................................... 5

Cevital agro-industrie participe au Salon international de l’alimentation............................. 6

 

Oppo lance le F1s en Afrique du Nord et au Moyen-Orient................................................... 6

Amor Benamor au rendez-vous mondial de l’alimentaire à Paris......................................... 7

Lina Algérie : Une école pour l’agriculture saharienne......................................................... 7

Régions....................................................................................................................................... 8

 

Mascara: 580 000 quintaux d'olives attendus........................................................................ 8


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


MARCHE & ECONOMIE

Accord-cadre Algérie- Chine : Une assise au modèle de croissance

 

Source : El Moudjahid

 

Le partenariat algéro-chinois étant largement consacré sur le terrain à travers la mise en œuvre dans un passé récent d’une série de projets d’infrastructures de base, l’heure est désormais à une coopération basée sur une meilleure implication des entreprises chinoises dans l’application du nouveau modèle économique algérien où le domaine industriel occupe une place privilégiée.

 

C’est sans doute à cette logique qu’obéit l’accord cadre signé hier à Alger par le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdeslam Bouchouareb et le vice-ministre chinois du Commerce, Qian Keming. Renforcer les capacités productives entre l’Algérie, c’est là le but gagé de cette convention qui, de l’avis du ministre Bouchouareb marque un nouveau tournant dans les relations économiques qu’entretiennent les deux pays. «Cet accord traduit la nouvelle trajectoire que prend la coopération économique entre l’Algérie et la Chine en passant du stade des échanges commerciaux et des marchés publics clés en main vers une phase de partenariat et de coproduction à travers le lancement de nombreux projets industriels et les perspectives prometteuses dans le domaine de l’exploration et l’exploitation minières et des nouvelles technologies» expliquera le ministre.

 

Il appuie son propos en mettant l’accent sur le sursaut qualificatif dans les rapports économiques algéro-chinois escompté de ce nouvel accord dont la mise en application saura consacrer, ajoute-il «une réelle dynamique dans l’investissement et la production commune». C’est en effet, dans cette optique que parmi les objectifs de la convention signée hier au siège du


 

ministère de l’Industrie et des mines, il est question, notamment de la mise en place d’une nouvelle plate-forme en vue de «favoriser la mise en œuvre conjointe des mesures visant à moderniser les capacités de production et de promouvoir le développement à travers l’accès permanent des entreprises aux nouvelles technologies industrielles» dira encore M. Bouchouareb.

 

Il mettra ainsi l’accent sur le transfert et l’optimisation des capacités productives, alimentée principalement, dira-t-il, «par les entreprises et orientée vers les bénéfices mutuels, ayant l'industrie manufacturière, la construction des infrastructures d'accompagnement, l'exploitation des ressources et des énergies comme secteurs majeurs, sous forme de partenariats, d'investissements directs étrangers, de commerce des équipements et de coopération technique». Ce sont en effet, une dizaines de domaines d’activités qui sont visés par ce nouvel accord entre l’Algérie et la Chine. Il est question, énumère M. Bouchouareb, de l’industrie mécanique, l’industrie ferroviaire, la sidérurgie, les infrastructures, la pétrochimie énergies renouvelables et efficacité énergétique, pétrole et gaz, engineering, transformation des produits miniers, matériaux de construction, appareils électroménagers. «La Chine est un partenaire stratégique très important pour l’Algérie» a encore fait savoir le ministre de l’Industrie et des Mines.

 

De son côté, le vice-ministre chinois du Commerce a estimé dans son intervention que l’accord paraphé hier, saura contribuer à la consolidation de la qualité de la coopération entre les deux pays notamment en matière d’augmentation du volume des investissements chinois en Algérie estimé actuellement à 2,5 milliards dinars. M. Qian Keming ne manquera pas aussi de mettre en avant la dynamique engagée en matière d’investissements


 

dans le cadre d’une stratégie d’une économie diversifiée. Il fera savoir à ce propos, que l’Algérie a pu réaliser des avancées notables dans ce domaine et ce comparativement à plusieurs pays africains.

 

M. Bouchouareb reçoit une délégation du groupe chinois CSCEC

 

Source : El Moudjahid

 

Le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, a reçu hier à Alger, une délégation du groupe chinois China state construction engineering corporation (CSCEC) et conduite par son vice-président Zheg Xuexual, indique le ministère dans un communiqué. M. Zheg Xuexual a exprimé, à cette occasion, «l’intérêt de son groupe pour diversifier ses activités en Algérie, notamment dans le domaine de l’industrie des matériaux de construction», selon le communiqué. Le responsable chinois a également souligné «sa disponibilité à œuvrer pour le transfert des compétences et du savoir-faire de son entreprise dans d’autres domaines et à concrétiser des partenariats avec des opérateurs algériens», indique la même source.

 

Algérie-Chine : Le yuan comme monnaie d’échange

 

Source : El Moudjahid

 

«Nous avons décidé d’échanger avec le yuan, il n’est pas encore question d’utiliser le dinar dans nos échanges», a déclaré le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesselam Bouchouareb, en marge d’une cérémonie de signature d’un accord avec des Chinois.

 

A la fin de l’année dernière, la Banque d’Algérie avait publié une note stipulant que les transactions entre


 


 

l’Algérie et la Chine seront réglées en monnaie chinoise. Auparavant, les transactions avec ce pays étaient payées en dollars US. «La Chine étant devenue le premier partenaire commercial de l’Algérie, il est entendu que les importations en provenance de ce pays ne sauraient être réglées dans une autre monnaie que celle de ce pays. D’autant plus que cette formule élimine tout premium pour la couverture du risque de change dans le cas de règlement dans une autre monnaie», précise la Banque centrale. La délégation chinoise devait avoir une réunion de travail, hier, à ce sujet avec le ministre des Finances, Baba Ammi. Le ministre de l’Industrie, qui recevait le vice-ministre chinois du Commerce, Qian Keming, a insisté sur l’importance de la Chine comme partenaire stratégique de l’Algérie. A ce propos, il convient de signaler que les deux parties ont signé, hier, un accord-cadre relatif à la coopération dans le domaine du renforcement des capacités productives de l’Algérie. Cela concerne divers domaines : l’industrie mécanique, les énergies renouvelables, le rail et la transformation des produits miniers. Il existe déjà deux projets de montage de véhicules algéro-chinois, installés dans l’ouest du pays, a révélé à cet effet Abdesselam Bouchouareb, le premier dans le segment des camions à faible tonnage et le second dans les camions et bus. Tout en précisant qu’un second projet dans le phosphate est également engagé avec des partenaires chinois. Le vice-ministre chinois, qui partage l’appréciation faite avant lui par son vis-à-vis algérien à propos de l’excellence des relations bilatérales, a indiqué que le flux des IDE à la faveur de ce protocole d’accord signé hier, connaîtra une augmentation exponentielle, rappelant que le flux des IDE chinois est estimé aujourd’hui à 2,5 milliards de dollars. Par ailleurs, Abdesselam Bouchouareb a insisté qu’il n’y a jamais eu de renoncement quant à la règle 51/49% laquelle s’appliquera «à tous les rapports économiques qu’aura l’Algérie avec les partenaires étrangers».


 

Journée mondiale de l’alimentation : remporter la bataille de l’eau

 

Source : El Moudjahid

 

La célébration officielle de la Journée mondiale de l’alimentation, dont le thème cette année est « Le climat change, l’alimentation et l’agriculture aussi», a eu lieu, hier à Constantine, en présence des ministres de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdeslam Chelghoum, des Ressources en eau et de l’Environnement, Abdelkader Ouali, ainsi que des représentants de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO).

 

À l’occasion, une journée a été organisée par la direction des services agricoles au niveau du palais de la Culture Malek-Haddad, dont le hall a hébergé une exposition de produits agricoles par de nombreux professionnels du secteur. Au cours de son intervention, Abdelkader Ouali a souligné la complémentarité entre le département qu’il dirige et celui de l’Agriculture. «Il est important de rappeler que le changement climatique est un problème d’une gravité extrême, qui menace particulièrement notre pays au climat semi-aride, et de ce fait, nous nous sommes fixé l’objectif de répondre aux différents besoins en eau potable, mais aussi celle destinée à l’industrie ou à l’agriculture. Ce dernier secteur partage avec le nôtre, les mêmes enjeux qui se cristallisent autour de la nécessité de faire face au changement climatique, ainsi que d’instaurer une sécurité alimentaire durable, et ce conformément aux directives du Président de la République», a-t-il notamment dit, avant d’expliciter les directives en question : «À cette fin, une stratégie ambitieuse a été mise en place depuis 1999, et les programmes quinquennaux de développement successifs étaient articulés autour de la


réalisation de grands transferts d’eau afin d’aboutir à un équilibre régional dans la distribution, la régulation saisonnière, par l’augmentation des capacités de stockage, et l’accroissement du potentiel, par la mobilisation des eaux non conventionnelles. On peut dire que, depuis quelques années, on commence à cueillir les fruits de tous ces efforts.» L’orateur a, en outre, indiqué que l’État a investi 50 milliards de dollars dans le secteur de l’eau, essentiellement dans le but de développer les infrastructures hydrauliques.

 

« Ce budget a permis la construction de 31 barrages durant la décennie écoulée, et d’ici l’année prochaine, sept seront mis en service, ce qui va nous permettre de porter la capacité de stockage à 9 milliards m3 par an, à l’horizon 2018, dont 6 seront réservés au secteur agricole», ajoute-t-il, avant de conclure : «La bataille de l’eau, qui va permettre de faire face au changement climatique, est bel et bien engagée.»

 

De son côté, Abdeslam Chelghoum a affirmé, lors d’une conférence de presse tenue en marge de la célébration officielle, que cette journée constituait une date importante, compte tenu de la position géographique du pays. «Outre les problèmes économiques, nos agriculteurs doivent faire face aux aléas climatiques, aux inondations et à la sécheresse.

 

C’est pour cette raison que l’État a pris de nombreuses dispositions, qui nous ont permis, aujourd’hui, de redresser la barre, et garantir les produits alimentaires de première nécessité, cela grâce, notamment à la mise en place de nouveaux procédés et à une utilisation rationnelle des ressources hydriques», a-t -il affirmé. Et d’ajouter : «Une prise de conscience s’est opérée, et je peux dire qu’aujourd’hui, nous nous trouvons sur la bonne voie.» Pour rappel, le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche a donné le coup


 


 

d’envoi, à partir d’une ferme située dans la commune d’Aïn Smara, de la campagne agricole 2016-2017.

 

Une trentaine de diplomates accrédités à Alger en visite au FCE

 

Source : El Moudjahid

 

Le Forum des chefs d’entreprise (FCE) a reçu, hier, une trentaine d’ambassadeurs, de conseillers, accrédités à Alger, dans le cadre de la troisième édition du Programme «MARHABA», initié par le ministère des Affaires étrangères (MAE).

 

L’objectif de cette importante rencontre consiste, notamment à promouvoir le marché algérien et les opportunités d'investissement qu'il recèle. En effet, les représentants du FCE ont mis l’accent, à cette occasion, sur plusieurs points, notamment le plaidoyer et ses objectifs. Le vice-président et président du COS du FCE, M. Ahmed Tibaoui, a réitéré l'appel du FCE pour protéger les industries naissantes. Tout en soulignant que leur organisation patronale a l’ambition, dans son plaidoyer, d’atteindre un taux de croissance moyen de l’ordre de 8% à l’horizon 2020, la création de 60.000 entreprises par an, la création de 2 millions d’emplois dans l’industrie, le BTP, l’agriculture et les services, porter la part de l’industrie dans le produit intérieur brut (PIB) à 15%, réduction de la facture des importations de 15 milliards de dollars en cinq ans, augmentation des exportations hors hydrocarbures de 10 milliards de dollars. Il a ajouté que «le Forum milite pour la mise en place d'une politique de soutien économique destinée aux champions économiques». De son côté, Brahim Benabdesselam, vice-président du FCE, a fait savoir que l’économie algérienne a changé par rapport aux années précédente, et cela grâce aux efforts déployé évidemment par les pouvoirs publics et le secteur privé.


Selon lui, à l’époque, l’économie de notre pays est centralisée, mais si l’on regarde aujourd’hui les chiffres, les trois- quart de la valeur ajoutée hors hydrocarbure sont créés par les entreprises privées. Cela s’explique par la grande importance qu’a accordée l’État au privé. «En termes d’investissement à la garantie d’investissement à l’international, l’Algérie est parmi les rares pays qui ont signé l’ensemble des textes qui garantissent l’investissement », a-t-il fait savoir. Tout en insistant que dans le contexte actuel marqué par la chute drastique des prix de pétrole, l’Algérie est dans l’obligation de s’orienter vers d’autres secteurs hors hydrocarbures. Brahim Benabdesselam n’a pas manqué de mettre l’accent sur le Forum africain, qui se tiendra du 3 au 5 décembre 2016 à Alger en indiquant celui-ci est destinée exclusivement pour les Africains. «Lors de cet événement, a-t-il dit, plusieurs questions qui préoccupent, à la fois, l’Afrique et les hommes d’affaires du continent seront abordées.» Parmi les dossiers qui seront abordés, lors de cette importante manifestation d'affaires, figurent la sécurité énergétique, l’électrification de l’Afrique, l’agro-industrie, le numérique, ainsi que les différents moyens de financements «intelligents» des projets.

 

 

Prix à l’importation au 1er semestre : Recul quasi général

 

Source : El Moudjahid

 

Les prix à l’importation par l’Algérie des produits alimentaires et agroalimentaires ont, pour la grande majorité, baissé durant le premier semestre de 2016 par rapport à la même période de 2015, apprend l’APS auprès du ministère du Commerce. Dans la catégorie des céréales, les prix à l’importation ont reculé à 329 dollars/tonne (usd/t) pour le blé dur (-33,7% par rapport à la même période de 2015), à 194 usd/t pour le blé


 

tendre (-25,1%) et à 182 usd/t pour le maïs ( -11,2%). De son côté, le prix d’achat des poudres de lait s’est établi à 2.350 usd/t (-20,4%). La baisse des prix à l’importation a également touché le sucre roux à 359 usd/t (-6%) et les huiles brutes (baisses allant de 0,2% et 17%) sauf pour l’huile brute de coco (+2,6%) et d’autres huiles alimentaires brutes (+132%).

 

Pour la catégorie des produits d’épicerie, une augmentation des prix moyens à l’importation a été observée pour les pâtes alimentaires (+26%), le lait infantile (+4,9%), les cafés torréfiés(+1,7%) et le thé (+1%). Par contre, les prix à l’importation du triple concentré de tomate ont reculé à 860 usd/t (-27,6%), le concentré de tomate à 1.172 usd/t (-19,5%), le double concentré de tomate à 1.331 usd/t (-10,2%), les cafés non torréfiés à 2.061 usd/t (-13%), le riz à 527 usd/t (-10,2%) et le sucre blanc à 516 usd/t (-1,15%). Pour les légumes secs, des baisses ont été observées pour les haricots secs à 922 usd/t (-32,7%) et les pois secs à 533 usd/t (-31,5%). En revanche, les prix à l’importation ont haussé pour les lentilles à 1.078 usd/t (+14,4%) et les pois chiches à 1.151 usd/t (+6,8%). Quant à l’ail, il a été importé à 1.674 usd/t, soit une hausse de près de 55%. En ce qui concerne les fruits frais, les pommes ont été importées à 823 usd/t (+17,7%) et les bananes à 732 usd/t ( -0,5%). Pour les viandes et poissons, les prix ont reculé pour les viandes bovines réfrigérées à 3.510 usd/t (-13,7%), pour celles congelées à 3.000 usd/t (-10,38%) et pour les poissons congelés à 1.535 usd/t (-3,1%). Par ailleurs, pour le ciment, son prix moyen a baissé à 64 usd/t contre 86 usd/t (-25,6%). Les principaux pays fournisseurs de l’Algérie en poudre de lait sont au nombre de 18 dont les 5 premiers sont la Nouvelle-Zélande (34,37% des importations globales), la France (17,31%), l’Argentine (15,73%), la Pologne (11,02%) et l’Uruguay (8,97%). Pour les huiles alimentaires brutes, la quasi-totalité des quantités importées a été réalisée


 


par six (6) principaux opérateurs dont une société privée qui demeure en première position avec 57,54% de la quantité totale importée. En matière d’importation de sucre roux, cette même société privée est demeurée dominante en assurant 86,34% du total importé. Quant au sucre blanc, il est à noter qu’une proportion de 60,03% de la totalité des quantités importées a été réalisée par six entreprises privées. Concernant le café non torréfié, les principaux importateurs sont au nombre de sept (7) avec près de 42% du total des importations.

 

Bananes et pommes : plus de 145 millions dollars d’importations

 

En ce qui concerne les fruits frais, il a été importé pour plus de 97,5 millions usd de bananes durant les six premiers mois 2016 (contre 92,6 millions usd sur la même période de 2015), et pour 47,5 millions usd de pommes (contre 76,7 millions usd). La facture a été de 22,3 millions usd pour les amandes (contre 16 millions usd), de 16,3 millions usd de raisins secs (contre 19,2 millions usd) et de 4,3 millions usd d’abricots secs (contre 5,5 millions usd), alors que les importations des pruneaux secs se sont chiffrées à 9,1 millions usd (contre 9,06 millions usd). Il est, par ailleurs, constaté que la facture de l’ail importé est passée à 12,7 millions usd (contre 9,3 millions usd).

 

Commission consultative de l’ITSO : L’Algérie désignée représentant d’Afrique du Nord

 

Source : El Moudjahid

 

L’Algérie a été désignée en qualité de représentant de la région Afrique du Nord au niveau de la commission consultative de l’Organisation internationale de


télécommunications par satellites (ITSO), a indiqué hier le ministère de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication dans un communiqué. Le ministère, qui se félicite de cette adhésion, intervenue lors de la 37e session de l’Assemblée des Parties de cette organisation, tenue du 12 au 14 octobre à Washington, relève que cela permettra à l’Algérie d’être «partie prenante dans le processus de prise de décisions liées aux activités de cette instance internationale». En plus de sa mission d’autorité de supervision pour Intelsat, l’ITSO «veille à la fourniture non discriminatoire de services publics de télécommunications internationales (téléphonie, données de télévision) d’une grande fiabilité et de haute qualité, permettant ainsi de répondre aux besoins de la société de l’information et de la communication», relève la même source. À l’occasion de cette 37e Assemblée, et «grâce à une mobilisation des pays africains, dont l’Algérie», l’Ougandais Patrick Masambu a été élu, à la majorité des voix, au poste de directeur général de l’ITSO, et doit prendre ses fonctions le 19 juillet 2017, ajoute le communiqué.

 

Énergies renouvelables : L’exploitation entrera en phase active à partir de 2017

 

Source : Transaction d’Algérie

 

Hissé au rang de « priorité nationale », l’exploitation à vaste échelle des gisements d’énergies renouvelables va commencer à connaître une accélération, à partir de 2017, à travers le lancement d’un ambitieux programme de 22.000 mégawatts, dont la réalisation devrait s'étendre jusqu’à 2030.

 

Accueilli, mardi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, le directeur du Centre de développement des énergies renouvelables précise


que cet ambitieux programme sera inauguré par la réalisation d’un premier projet prévu pour produire 4.500 mégawatts. Au titre des phases « démonstratives », M. Nourredine Yassa indique que les 20 stations pilotes photovoltaïques, réalisées au cours des dernières années,  et produisant un total de

 

400 mégawatts, ont permis aux ingénieurs Algériens de bénéficier d’un retour d’expertise enrichissant pour mener à bien ce chantier. Dans une perspective d’exploitation des potentiels  hors hydrocarbures, l’intervenant rappelle les nombreuses expérimentations entreprises par les laboratoires et centre de recherche, dont les travaux, dit-il, ont été centrés sur l’exploitation de diverses sources d’énergie (solaire, éolienne, thermique et géothermique, de biomasse et issue de l’hydrogène). M. Yassa rappelle que le programme destiné à substituer l’énergie tirée des hydrocarbures par le renouvelable, a contribué à impulser une forte dynamique au niveau des centres de recherche et des universités « où de plus en plus de cursus sont consacrés à ces créneaux. Pour illustrer l’intérêt manifesté, à des niveaux divers, à l’endroit des énergies renouvelables, il rappelle que des centres de formation professionnelle se sont mis à proposer de former des techniciens spécialisés dans l’installation et la maintenance de panneaux photovoltaïques.

 

COMMERCE

Condor Electronics : une stratégie de déploiement à l’international

 

Source : Maghreb Emergent

 

Poursuivant sa politique de promotion de son image de marque dans le monde, le groupe Condor Electronics participe à la 36ème édition du salon GITEX (Gitex Technology Week) 2016 qui se tient au World Trade Centre de Dubaï (UAE), du 16 au 20 Octobre 2016.


 


 

A l’occasion de ce rendez-vous incontournable des professionnels des technologies et du numérique, la société Condor présente ses derniers produits technologiques fabriqués dans ses usines de Bordj Bou Arreridj. Cette participation illustre parfaitement la forte volonté du géant algérien à un salon international d’envergure où se côtoient plus de 3700 entreprises venues de plus de 60 pays, un salon qui draine plus de 146.000 visiteurs.

 

Sur le stand Condor de près situé au Hall 6A stand 20, les visiteurs de l’un des plus grands évènements commerciaux de la région MENA dans le secteur de l’électronique grand public et des applications domestiques pourront découvrir, les dernières innovations et produits du constructeur algérien à la pointe de la technologie et certifiés aux normes internationales de qualité et de sécurité les plus strictes.

 

"Pour Condor, cette première participation à la semaine de la technologie GITEX est une opportunité de présenter au public international notre entreprise ainsi que notre large gamme de produits dont les smartphones, tablettes, et accessoires connectés. Une stratégie qui permettra de promouvoir une économie algérienne forte, capable de rivaliser avec les plus grands et de s’exporter sur le marché international" a déclaré M. Abderrahmane Benhamadi Président du Conseil d’Administration de Condor Electronics.

 

Inscrite à l’agenda de sa stratégie d’internationalisation, Gitex 2016 est la quatrième étape après la participation au MWC de Barcelone, MWC de Shanghai et à l’IFA de Berlin ; des expériences enrichissantes en connaissance de nouveaux marchés et un feedback positif suite à la rencontre de ce nouveau public.


Les plus grands acteurs des domaines des nouvelles technologies et de l’électronique sont présents à cette nouvelle édition du Gitex 2016, Condor entend profiter de cette opportunité pour promouvoir son savoir-faire et pour créer de nouveaux liens en vue de profiter de nouvelles opportunités.

 

A ce sujet, M. Réda Hamai, Directeur Général Adjoint Développement à l’International nous dira « Aujourd’hui, Condor Electronics continue son internationalisation, après des premières expériences satisfaisantes, nous sommes en plein déploiement au niveau international, nos produits sont à la pointe de la technologie et sont certifiés aux normes européennes CE, une place de choix s’offre à Condor Electronics grâce à la qualité, la diversité et la compétitivité de nos produits sur le marché international».

 

Cevital agro-industrie participe au Salon international de l’alimentation

 

Source : Liberté

 

Cevital agro-industrie, la filiale agroalimentaire du premier groupe privé en Algérie, annonce sa participation au Salon international de l’alimentation Sial-2016 à travers la mise en place d’un stand institutionnel présentant l’ensemble de sa gamme algérienne : sucre, corps gras solides et liquides, ainsi que sa nouvelle gamme MDD (marque de distributeur). Le Sial, qui se déroulera du 16 au 20 octobre 2016 au parc des expositions Villepinte – Paris, constitue le plus grand rendez-vous mondial de l’alimentation. Il réunit tous les acteurs-clefs, producteurs et acheteurs, autour des grands enjeux mondiaux et révèle les tendances et innovations qui façonneront l’industrie agroalimentaire de demain. C’est également une place tournante du business alimentaire.


 

À travers sa participation au Sial-2016, Cevital agro-industrie aspire à faire connaître ses activités et à asseoir sa place de leader de l’agroalimentaire en Afrique. Cette participation constitue également une opportunité d’extension à l’international notamment via sa gamme MDD “Your Brand”.

 

Le stand de Cevital agro-industrie s’étale sur une superficie de 130 m² comprenant un espace VIP, des corners B to B ainsi qu’un espace cuisine où un chef préparera et offrira différents mets et gâteaux typiquement algériens à base de produits Cevital agro-industrie.

 

Oppo lance le F1s en Afrique du Nord et au Moyen-Orient

 

Source : Liberté

 

La marque chinoise Oppo, classée quatrième mondiale dans le domaine des smartphones, se prépare à tenir une grande cérémonie au Caire, le 19 octobre prochain. Une conférence de presse internationale sera organisée pour le lancement de son best-seller le F1s, dénommé le Selfie Expert, dans la région Afrique du Nord et Moyen-Orient. Ce lancement aura lieu en particulier en Algérie, en Égypte, au Maroc, au Qatar et aux Émirates arabes unis, où Oppo entend renforcer sa position au sein de ces marchés. Surnommé le Selfie Expert, grâce à sa caméra frontale de 16 mégapixels, l’Oppo F1s a rencontré un énorme succès dans de nombreux marchés dont ceux d’Asie du Sud-Est. Il jouit également de puissantes spécifications techniques, dont une mémoire RAM de 3 Go, une mémoire interne de 32 Go, extensible à 128 Go grâce à l’utilisation de carte mémoire SD, ainsi qu’un lecteur d’empreintes digitales avec une vitesse de numérisation de 0.22 seconde.


 


 

Oppo croit fortement dans le potentiel du F1s pour conquérir les marchés nord-africains et moyen-orientaux, où la marque est en expansion depuis la fin de l’année 2014. Raison pour laquelle, Oppo a décidé de lancer ce produit lors d’un événement international au Caire. Cet événement sera également l’occasion pour Oppo d’annoncer d’importantes décisions qui concerneront le futur de la marque au sein de la région.

 

Amor Benamor au rendez- vous mondial de l’alimentaire à Paris

 

Source : Liberté

 

Amor Benamor sera présent à l’incontournable rendez-vous du Salon international de l’alimentaire (Sial) Paris qui se tient depuis hier dimanche 16 octobre et ce, jusqu’au 20 du même mois, au Parc des expositions de Villepinte, Paris Nord. Amor Benamor accueillera, cette année, ses visiteurs dans un stand d’une surface imposante de 500 m2 permettant ainsi de mettre en valeur tout le potentiel productif du groupe et toutes ses nouveautés. En effet, la marque sera présente à cette édition sous sa nouvelle identité commerciale conformément à la stratégie de marque mise en œuvre par le groupe. La gamme couscous, produit phare de notre catalogue, proposera désormais une nouvelle référence qui vient élargir l’offre existante.

 

Le pôle conserverie n’est pas en reste, à la sauce tomate cuisinée s’ajoute une large gamme d’aides culinaires préparée avec le plus grand soin à base de produits du terroir, séchés au soleil. À travers le couscous et les pâtes Amor Benamor, ce sont aussi les saveurs parfumées et ensoleillées de la cuisine algérienne et méditerranéenne qui seront à l’honneur. Nos chefs feront leur show à l’ouverture du salon à la cuisine du Sial en présence des plus grands chefs étoilés. Le show


 

culinaire se prolongera tout au long du salon dans notre stand, offrant à nos visiteurs le plaisir de déguster de savoureux plats de couscous et pâtes Amor Benamor.

 

Lina Algérie : Une école pour l’agriculture saharienne

 

Source : L’Econews

 

L’agriculture saharienne est devenue une réalité tangible et le Sud aujourd’hui est le nouveau pôle agricole du pays grâce à des fermes pilotes qui nous approvisionnent de la production nationale « made in Sahara ». Lina Algérie est une nouvelle ferme de production et de recherche agricole qui a donné des fruits succulents. Cette ferme ouvrira aussi ses portes aux jeunes d’ici début 2017. Son propriétaire, Monsieur Hocine Benhaddya compte faire de Lina Algérie une école de formation d’envergure nationale, et qui est située plus exactement à Hassi Messaoud dans la wilaya d’Ouargla.

 

L’Econews : Qu’est-ce que Lina Algérie ?

 

Lina Algérie est l’extension d’une école de formation qualifiante DLE spécialisée dans les engins des travaux publics qui a démarré les années 2008-2009. Nous avons donc une expérience de près de 10 années et nous sommes devenus leader dans le domaine de la formation qualifiante en la matière. Notre école a donné de bons résultats et l’ensemble des stagiaires des différents cycles de formations sont satisfaits de notre prestation. C’est pourquoi l’idée de faire une extension de l’école en 2012 nous est venue, mais cette fois-ci dans le domaine de l’agriculture. Nous avons acquis une assiette foncière de 500 hectares à Belhirene distant de 60 kilomètres de Hassi Messaoud.


Pourquoi l’extension de votre école est orientée vers un autre domaine que les travaux publics ?

 

Nous avons implanté des arbres fruitiers, comme le grenadier, l’abricotier, le figuier, le murier, l’olivier, etc., qui ont donné de bons produits. Outre les cultures maraichères, nous avons cultivé la pastèque, le melon et le cantaloup. Après ces expériences réussies, nous avons orienté notre formation sur un autre domaine aussi important que l’agriculture. C’est celui de créer une école d’agriculture moderne pour le Sud, dans le but d’accompagner d’abord les jeunes qui ont des concessions agricoles et qui ne savent pas par où commencer et où terminer leur agriculture. Mais aussi former une main d’œuvre qualifiée dans le domaine de l’agriculture, parce qu’un ouvrier doit savoir comment planter un arbre et le tailler, comment lire une fiche technique d’un engrais ou d’un pesticide qui sont importants pour l’agriculture d’aujourd’hui et c’est la mission principale de l’école Lina Algérie.

 

Est ce qu’il faut des techniques spéciales pour réussir l’agriculture dans le Sud ?

 

De mon expérience personnelle et comme je suis issu d’une famille de cultivateurs, nous avons réussi à cultiver plusieurs produits agricoles. Aujourd’hui encore mieux parce qu’il y a le système de goutte à goutte, les serres et les engrais qui n’existaient pas auparavant et qui aident énormément à développer l’agriculture même dans le désert. Notre amour donc pour la terre nous a poussés à cultiver toute sorte de plantes et les résultats ont été toujours à la hauteur de cette terre. C’est pourquoi nous voulons transmettre notre savoir-faire aux jeunes et futures générations qui ont un penchant vers le travail de la terre.


 


Est-ce que vous ciblez par la formation, les jeunes de Sud ou bien tout le territoire national ?

 

Quand nous avons commencé l’Ecole DLE, c’était un tout petit projet pour les jeunes de la région. Mais aujourd’hui, nous avons des élèves qui viennent de partout ; de Ghazaouet, Tébessa, Alger, etc. et qui sont pris en charge puisque nous avons un internat de 300 lits et un restaurant de 200 places. Notre école fourni une formation de qualité et une attestation qualifiante agrée par la formation professionnelle. C’est un acquis et un support pour les jeunes à la recherche de travail. Avec notre attestation, pas mal de stagiaires ont créé leurs propres projets dans le cadre des dispositifs d’aide de l’Etat, comme l’Ansej et la Cnac. Pas mal aussi d’entre eux ont intégré des sociétés grâce à notre crédibilité. D’ailleurs, certaines entreprises incitent leurs employés à faire des formations chez nous parce que nous avons acquis un nom dans le marché du travail et enfin nous avons une satisfaction morale dans ce sens.

 

L’école Lina est-elle déjà opérationnelle et quelles est la durées des formations ?

 

L’école Lina Algérie sera opérationnelle le 1er trimestre de l’année 2017, les fruits que nous avons implanté sont productifs, les baraques sahariennes climatisées sont prêtes pour recevoir les nouveaux stagiaires. De même l’administration est sur place et il nous manque juste les formateurs dans différentes filières de l’agriculture. Nous sommes en train de sélectionner les candidats. Ce que nous pouvons promettre c’est qu’au 2eme trimestre de 2017, vous aurez les fruits de cette nouvelle école d’agriculture. Concernant la durée de la formation, nous avons programmés des cycles de perfectionnement de courtes durées allant de trois à quatre semaines. Il s’agit des cours accélérés pour les initier au métier d’agriculteurs, ensuite viendra la


spécialité dans les pesticides, les engrais ou autres créneaux bien précis.

 

REGIONS

Mascara: 580 000 quintaux d'olives attendus

 

Source : Le Quotidien d’Oran

 

La campagne de la cueillette des olives qui a démarré le 1er octobre bat son plein à Mascara soit du côté ouest entre autres dans les perimètres de Sig, Zahana, Gaada, Oggaz Alaimia, Ras Aïn Amirouche, au sud l'on cite Oued Taria, Guerdjoum, Aouf, Benian et à l'Est Hachem, Zelamta, Nesmoth et à un degré moins Tighenif et Matemore.

 

Les responsables des services agricoles tablent sur une production de l'ordre de 580 000 quintaux. La campagne de la cueillette des olives qui a déjà plus d'une quinzaine de jours prendra fin au mois de décembre et ciblera 9 500 hectares d'oliviers plantés sur une superficie de 13 400 hectares dont 8 000 pour la seule daïra de Sig. Les conditions climatiques favorables, la mobilisation d'une importante quantité d'eau réservée à l'irrigation, l'utilisation du système appelé goutte-à-goutte, le rajeunissement des plantes et la disponibilité de la main-d'œuvre constituent les principaux facteurs d'une bonne récolte.