SOMMAIRE
Marché & Economie..........................................................................................................
2
Coopération bilatérale Algéro-Qatarie : Un
nouveau
jalon .................................................... 2
Ciment : Fin
de
l’importation
en 2017..................................................................................... 3
Fonds de promotion des exportations : Élargissement des financements.............................. 3
Le PLF 2017 renferme des dispositions en
faveur
d'une dynamique économique.................. 3
PLF 2017: un
cadrage à moyen
terme pour
une
meilleure visibilité budgétaire .................... 4
Les Banques
publiques n’iront pas en bourse .........................................................................
5
Réunion de l'Opep à Vienne Objet : discuter les
détails de l'accord d'Alger ........................... 5
Une mission d’affaires algérienne au
Chili : Exploiter
les
potentialités de partenariat .......... 6
Commerce ........................................................................................................................ 6
Tassili Airlines innove .............................................................................................................. 6
Le nouveau
smartphone OPPO F1s commercialisé en
Algérie ................................................ 6
13ème édition des International Business Awards 2016 ........................................................ 7
Régions............................................................................................................................. 7
Cimenterie de Timegtane (Adrar) : Un
acquis important pour le grand Sud .......................... 7
MARCHE & ECONOMIE
Coopération bilatérale Algéro-Qatarie : Un nouveau jalon
Source : El Moudjahid
Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, a entamé une visite de travail
au Qatar dans le cadre du renforcement de la
coopération
bilatérale. Cette visite sera sanctionnée par
la signature d'une convention entre les ministères de l'Intérieur des deux pays. M. Bedoui aura également l'occasion de
s'entretenir avec des responsables de l'Etat du Qatar sur les moyens de renforcer les
relations bilatérales.
L'Algérie et le Qatar ont
conclu plusieurs accords de coopération dans divers domaines dont 13 conventions et
mémorandums
signés lors de la réunion de la Haute Commission mixte qui s'est tenue à Doha en novembre
2014. Les secteurs concernés sont notamment la jeunesse, les sports, l'enseignement supérieur, la pêche
et
les douanes. M. Bedoui est accompagné du directeur général de la Sûreté national, le général
major, Abdelghani Hamel. L'Algérie et le Qatar œuvrent depuis
quelques
années
à diversifier
et
à renforcer leur
coopération bilatérale en vue de l'élargir à d'autres domaines, notamment celui de l'Intérieur
et des
Collectivités locales au regard de son lien étroit
avec
d'autres secteurs.
L'intérêt accordé à ce secteur apparaît à travers
l'échange de visites des responsables des deux pays, notamment dans le domaine de la police
où
l'échange d'expériences entre les polices algérienne
et qatarie a été mis en exergue. A rappeler dans ce cadre
la visite effectuée par le directeur général de la Sûreté
nationale, le général major, Abdelghani Hamel au Qatar en mai
2015 et qui avait permis
le renforcement de la
coopération bilatérale
et du
partenariat
entre les
polices des deux pays dans les domaines de la formation et d'entraînement des forces de la police, ainsi que le
raffermissement de la coopération
en
matière de lutte contre le crime sous toutes
ses formes, en particulier le
crime transfrontalier.
La visite avait également permis
au général major, Abdelghani Hamel, de présenter l'expérience algérienne distinguée en
matière de lutte contre le trafic de drogue et le crime organisé. Comme convenu par les deux pays dans divers
occasions,
la visite du
ministre de l'Intérieur et des Collectivités
locales, Noureddine Bedoui,
dimanche au Qatar intervient dans le cadre des contacts périodiques pour
le renforcement des moyens de coopération et
la promotion des
prestations sécuritaires au profit du
citoyen.
Diversifier et intensifier la coopération, un pari engagé
par
les responsables des
deux pays
Outre la coopération sécuritaire
et policière, les deux pays sont également
liés par plusieurs accords de coopération et
mémorandums d'entente touchant
divers
secteurs dont
le secteur de l'intérieur et des
collectivités locales. Ces accords
ont
été conclus
notamment lors
de
la réunion de la Haute Commission
mixte qui s'est tenue à Doha en novembre 2014. La
réunion de cette Commission coprésidée par le Premier
ministre, Abdelmalek
Sellal, et le président du Conseil
des
ministres et ministre de l'Intérieur qatari, Cheikh
Abdallah ben Nacer Ben Khelifa Al Thani, a été
sanctionnée par la signature de 13 documents entre
accords, mémorandums d'entente et programmes
exécutifs, concernant plusieurs secteurs dont les sports, la jeunesse, l'enseignement supérieur, la pêche et les douanes. La coopération
entre les deux pays a été
consacrée par la pose de la première pierre du projet de
réalisation du complexe sidérurgique de Bellara (Jijel) par M. Sellal et cheikh Abdallah Ben Nacer Ben Khelifa Al Thani, lors de la visite de ce dernier en Algérie en mars
2015. Sur le plan politique, le dialogue et la concertation
entre les
deux pays
se sont poursuivis malgré la conjoncture que
traverse le monde arabe, en
témoignent l'échange de visites entre les hauts
responsables des deux pays et leurs rencontres dans les réunions arabes, régionales et internationales.
Rappelons dans ce cadre la visite de l'Emir du Qatar
Cheikh Temim Ben Hamad Al Thani en Algérie en avril
2014 et auparavant celles du Premier ministre
Abdelmalek Sellal à Doha en mars 2013 et en novembre
2014, mais aussi la
visite du Président de la
République, Abdelaziz Bouteflika, au Qatar fin 2011 à l'occasion de la
tenue du
sommet des producteurs de gaz.
Visite du centre
des systèmes d'information de
Doha
Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, a visité à Doha la Direction générale du Centre des systèmes d'information relevant
du ministère de l'Intérieur
de
ce pays. M.
Bedoui qui était
accompagné
du directeur général de la
Sureté nationale, le général
major, Abdelghani Hamel, et du directeur général du centre, le général Saqr Khemis al Kobeissi, a reçu des explications
exhaustives sur le fonctionnement de cette institution électronique. Selon
les explications avancées, le site électronique du Centre
des systèmes d'information
(e-gouvernement) propose
des
applications pour
diverses prestations
pouvant
atteindre 360 services qui touchent la carte intelligente (carte électronique), l'enregistrement des
accidents de
la circulation, le
versement des contraventions, le renouvellement du
permis de conduire
et autres.
A travers ce site, le citoyen
est en mesure de régler les
problèmes électroniques qui se posent sans avoir
à se
rendre dans les
services
concernés.
A ce propos, les
responsables du centre ont souligné l'importance du
matricule personnel du citoyen (numéro figurant sur la
carte d'identité et le passeport biométrique en Algérie)
pour résoudre nombre de problèmes liés aux fichiers
des personnes au
plan administratif.
D'autre part, M. Bedoui
a effectué une visite aux différents services du Centre et a pris connaissance des
étapes d'élaboration des documents officiels dans
ce pays comme le passeport et la pièce d'identité ainsi que le bureau d'assistance. Le
ministre de l'Intérieur devra
rencontrer les membres de la communauté algérienne établie à Qatar à la veille de la célébration du 62e
anniversaire de la Révolution du
1er
Novembre.
Le programme de la visite compte également la signature d'un accord de coopération entre les ministères
de l'Intérieur des
deux pays respectifs
et
la participation à
l'ouverture de la 11e édition du Salon international de
la sûreté et de la sécurité organisé par le ministère
qatari de l'Intérieur.
Ciment : Fin de l’importation en 2017
Source : El Moudjahid
Le ministre de l’Industrie et des
Mines, Abdessalem Bouchouareb, a
affirmé, hier à Adrar, que «2017 sera
l’année de la fin d’importation
du ciment par l’Algérie».
«L’année
2017 sera celle de la fin de
l’importation par l’Algérie du
ciment à
la faveur des cimenteries réalisées
ou
en voie de l’être à travers différents régions du pays,
dont la capacités de production globale annuelle devra
atteindre les six millions de tonnes", a souligné M.
Bouchouareb lors de
l’inspection de
la cimenterie de
la commune de Timegtane, daïra d’Aoulef, 260 km Est d’Adrar, dans le cadre de sa
visite de travail dans
la région. Le ministre de l’Industrie
et des Mines a
indiqué que ces projets industriels
devront permettre au pays
d’atteindre "l’autosuffisance en ciment, et d’entamer la
phase d’exportation vers l’étranger". Sur site, le
ministre a suivi un exposé succinct sur cette importante entité industrielle, fruit d’un partenariat algéro-chinois. Cet
ambitieux projet, dont les travaux de réalisation ont atteint un taux d’avancement de près de 90%, sera livré
à la
fin de l’année
en
cours, a-t-on expliqué à la délégation
ministérielle. Mettant en valeur cette
démarche d’investissement dans le Sud, le
ministre
a mis l’accent sur la nécessaire prise en charge de certains
volets,
facteurs de réussite de
pareilles unités industrielles, dont la réalisation de la route reliant cette
cimenterie, distante de 36 km du chef lieu de
la commune de Timegtane pour faciliter l’accès des
véhicules lourds notamment. M. Bouchouareb, qui a mis
à profit cette visite pour écouter la préoccupation
soulevée par les responsables du projet liée notamment
au manque de cadres et experts étrangers en raison des procédures
d’obtention de visa, a rassuré que cette
doléance sera prise
en charge en coordination avec les
autorités concernées. Le ministre de l’industrie et des
mines poursuivra sa
tournée dans la wilaya d’Adrar par la visite d’autres projets
et installations relevant de son département implantés à travers d’autres régions de la wilaya.
Fonds de promotion des exportations : Élargissement des
financements
Source : El Moudjahid
Le Fonds spécial de promotion des
exportations (FSPE)
étend désormais ses contributions financières aux opérateurs algériens participant
aux manifestations
économiques organisées
également en Algérie, indique un arrêté interministériel publié au Journal Officiel n°
57. "80% des
frais engagés pour l'organisation et la
participation aux
manifestations économiques
spécifiques organisées au niveau national consacrées à la
promotion des produits algériens destinés à
l'exportation",
précise ce texte qui fixe aussi la nomenclature des recettes et des dépenses du compte
d'affectation spéciale du FSPE.
Institué par la loi
de
finances de l'année 1996, le FSPE
était destiné auparavant à apporter un soutien financier
aux
exportateurs dans les actions de promotion
et de
placement de leurs
produits sur les marchés
extérieurs
uniquement.
Ces contributions sont
accordées aux opérateurs économiques au titre de la
prise en charge d'une partie des coûts de transport,
transit et manutention des
marchandises destinées à l'exportation ainsi que de la
participation aux foires, expositions et salons spécialisés à l'étranger et au titre d'études des marchés extérieurs,
de
l'information des exportateurs et l'étude pour l'amélioration de
la qualité, des produits et services
destinés à l'exportation Les sources de financement du
FSPE
sont
la Taxe
intérieure
de consommation
(TIC) dont 5% des recettes y sont affectées,
et les contributions des organismes publics
et privés ainsi que les dons et legs.
Le PLF
2017 renferme des dispositions en faveur d'une dynamique économique
Source :
APS
Le directeur général des
Domaines Djamel Khaznadji
a indiqué dimanche à Alger que les mesures prévues par le projet de loi
de
finance 2017 visaient à créer une dynamique
économique et à encourager l'investissement privé à travers le territoire national
notamment en autorisant les opérateurs privés
à créer
et gérer des zones industrielles.
"L'Etat a
consacré une bonne partie des assiettes de
terrains industrielles à l'encouragement de
l'investissement et suite
à la
demande d'opérateurs économiques désireux de créer
et gérer des zones industrielles il a été pproposé une mesure permettant à ces derniers d'aménager et gérer des
zones d'activités
industrielle sur des terrains relavant des domaines de
d'Etat", a fait savoir le responsable à l'issue d'une réunion avec la
commission des finances et du budget
de
l'Assemblée populaire nationale
(APN) pour
l'examen
des dispositions du PLF 2017.
Concernant les réductions sur le prix de concession de
ces terrains, le responsable a précisé que cette
mesure visait à encourager l'investissement privé au
profit de
l'économie nationale et
favoriser une dynamique économique à
travers le territoire nationale.
La réunion portait notamment sur l'examen de l'article
75 du PLF 2017 modifiant et complétant l'article 58 de
la loi 18-15 portant loi de
finance 2016 et relative
à l'autorisation faite aux personnes physiques et
morales de statut privé pour créer, aménager et gérer des zones
d'activités ou des zones industrielles
sur
des terrains
relevant du domaine de l'Etat au titre du droit de
concession pour
une
durée de 33 années.
Le même article prévoit des réductions sur les prix de
concession de ces terrains en fonction de leur position géographique (Nord, hauts plateaux, sud et grand
sud).
Durant la même séance l'article 76 du
PLF 2017 modifiant
et complétant l'article 58 de la loi 16-11 portant loi de finance 2012 prévoyant, à
titre exceptionnel, la réduction de la durée d'incessibilité des logements
de
type AADL à
2 années au
profit des bénéficiaires
qui se sont acquittés d'avance de la totalité de la valeur
du bien acquis.
Certains députés
ont décrié les
avantages accordés aux privés en l'absence de résultats concrets sur le terrain pour ce qui est de
la mise en place d'une industrie nationale
efficiente proposant d'exclure les zones Nord du pays où
la demande est importante sur le foncier
industriel, de ces mesures
et
de les limiter aux régions des hauts plateaux et du sud pour
y créer une dynamique économique.
M. Khaznadji a rassuré
que
les
fonciers resteront la
propriété de l'Etat et que seuls les opérateurs économiques nationaux
bénéficieront du droit de
créer
et
d'aménager, avec
leurs fonds propres, des zones d'activité, industrielles, ou logistiques. Un cahier de
charge fixant les modalités et conditions d'octroi de ces
droit devra
être élaboré avec le
concours
du
ministère de l'industrie
et des mines, a-t-il fait savoir soulignant qu'une
stratégie nationale sera mise en place pour recenser et gérer
les zones industrielles et qu'il
appartenait aux
walis de déterminer les terrains à affecter à des investissements.
Pour ce qui est de la réduction exceptionnelle de la
réduction de la durée
d'incessibilité des logements
AADL, les membres de la commissions se sont interrogés pourquoi
cette mesure n'a pas été généraliser
aux
autres formules de logement puisque l'Etat profitera des droits induits du transfert de
propriété du bien immobilier.
Certains
ont préconisé
l'ouverture du marché
immobilier
alors que d'autres ont émis des craintes de
voir
une telle démarche donner lieu à un
marché parallèle que les courtiers exploiteront.
M. Khaznadji a expliqué que cette mesure a été
proposée pour drainer
des ressources financières
supplémentaires a même
de
favoriser le financement des projets de logement actuels ou ceux à programmer.
Le nouveau
texte permettra de renforcer les renseignements du fichier national du logement pour
mieux contrôler l'aide de l'Etat en la matière, a- t-il soutenu.
PLF 2017: un cadrage à moyen terme pour une meilleure visibilité budgétaire
Source :
APS
Le projet de loi
de
finances (PLF) 2017 a
consacré,
pour la première fois, le principe du cadrage budgétaire à moyen
terme en intégrant des prévisions sur trois années, une démarche
qui
permet une
meilleure
visibilité de la politique budgétaire, a souligné dimanche
un responsable du
ministère des Finances.
Jusque-là, les budgets de l'Etat étaient
établis sur une base annuelle sans une visibilité sur le moyen et le long
terme, a souligné le Directeur général du budget au ministère, Farid Bakka lors d'une rencontre avec
la commission des finances et du budget de l'APN dans le
cadre de l'examen du
projet de la loi de finances 2017.
Auparavant, cette situation ne posait pas de problème,
a expliqué M. Bakka,
car la conjoncture était
marquée
par
des recettes
pétrolières importantes
où l'accès à la ressource était facile.
Mais, avec la chute continue des prix du
pétrole, depuis
mi 2014, la
la conjoncture a changé, ce qui "nous a obligé à accélérer les réformes budgétaires, déjà
entamées en 2008,
pour faire face à un
contexte
caractérisé par des contraintes budgétaires
à cause de ressources financières limitées",
a-t-indiqué.
Dans
ce cadre, l'article 95 du projet de loi
porte sur l'institution d'un
cadre budgétaire à moyen terme arrêté annuellement pour une "meilleure visibilité de la
politique budgétaire".
A cet effet, le PLF 2017 est accompagné par des projections des années 2018 et 2019, des prévisions qui
peuvent faire l'objet d'un ajustement pour être fixés définitivement dans le
cadre de la loi de
finances de l'année considérée.
"Cette mesure va permettre plus de transparence et
une
meilleure maîtrise des dépenses", a affirmé
ce responsable.
Selon les explications de M. Bakka, le budget 2017 a pris
en
considération trois facteurs dans son élaboration: les
priorités gouvernementales, les dépenses
sociales et
salariales et enfin les dépenses de fonctionnement
et d'équipement.
La mesure de la
plurannualité
(cadrage), a-t-il ajouté, sera accompagnée par d'autres mesures de réformes budgétaires notamment "la gestion du budget orientée
vers
les résultats et les performances contrairement à la
gestion actuelle basée sur les moyens et les ressources allouées".
A travers cette démarche, la budgétisation ne se fera pas sur la base des
organisations administratives
mais
sur la base des politiques publiques et les engagements du
gouvernement, selon la même source.
Après l'application de cette
approche, la loi de
règlement
budgétaire, limitée
jusque-là à
la
présentation
et
la justification des dépenses, sera
accompagnée
par
un programme de performance
qui
détaille les réalisations de chaque secteur.
"Notre ambition est de passer de l'approche +dépenser
plus à une approche dépenser mieux+", a-t-il dit.
Les Banques publiques n’iront pas en bourse
Source :
L’Econews
Contrairement aux nombreuses
interprétations faisant part de l’intention du gouvernement algérien
de permettre aux
principales banques
publiques de s’introduire en Bourse afin de développer leurs activités de marché et diversifier leurs sources de financement pour compenser l’impact
de
la chute des recettes
pétrolières, le ministre des Finances, M. Hadji Baba
Ammi a précisé que l’ouverture du
capital des banques
publiques n’était pas à
l’ordre du
jour.
Bien que la proposition ait figuré dans la première
mouture de l’avant-projet de loi
de
finances 2017, le premier argentier
du pays a
souligné dans un entretien
accordé à l’APS que
le projet de loi
de
finance 2017 compte de nombreuses
propositions qui seront soumises au débats. Il notera cependant que « l’Algérie n’a pas fermé la porte à la possibilité d’agréer de
nouvelles
banques mais
souhaite, toutefois,
établir
des
partenariats avec
de
grandes banques
internationales
de
premier ordre ». A noter qu’actuellement, il
ya 20
banques et neuf
9 établissements financiers
dont cinq spécialisés dans le leasing
qui activent
en
Algérie. Mais
cette expansion ne traduit pas l’attente voulue par les
pouvoirs publics de ses banques souvent accusées de ne pas accorder de crédits aux entreprises algériennes et
favoriser exclusivement les filiales locales
des
entreprises étrangères.
Mais selon le ministre , les banques étrangères « conditionnent leur implantation
en Algérie par une détention majoritaire dans le capital
alors que cette
condition est en contradiction avec le principe de
l’établissement de l’activité bancaire sous forme de
partenariat prévu par la loi de Finances de 2009 qui
limite les participations étrangères
à 49%
pour tous
les investissements étrangers ».
Abordant la question des dépenses publiques, M. Hadji Baba Ammi s’est
voulu rassurant en insistant sur le fait
qu’il n’y aura pas de réduction
des dépenses
budgétaires « nous
allons les stabiliser sur les trois
prochaines années » a-t-il
affirmé. La préservation des acquis sociaux coûte à l’Etat près de 30% du PIB et
devrait se traduire, en 2017, par une stabilité des prix de
produits de base et un
maintien des dépenses de
l’éducation, de la santé ainsi que celles des dispositifs de l’emploi de jeunes. Il ajoutera que « le gouvernement a continué à financer les projets en cours de réalisation et a maintenu les acquis sociaux et le subventionnement
des produits de large
consommation ». Quant à l’annulation ou le gel de
plusieurs projets inscrits, le
ministre a expliqué que cette mesure n’a pas été prise «
par
austérité, mais plutôt par souci d’achever ceux qui sont déjà en chantier
».
Réunion de l'Opep à Vienne
Objet :
discuter les détails
de l'accord d'Alger
Source :
Transaction Algérie
L'Organisation
des pays exportateurs de pétrole (Opep) a entamé vendredi une réunion technique de deux
jours, dans l'objectif de préciser les détails d'un éventuel
arrangement
entre producteurs
pour limiter
l'offre sur
le marché pétrolier.
Cette réunion est le résultat d'une décision prise par
l'Opep en
marge du
Forum International de l'Energie tenu le 28 septembre à
Alger, afin de plafonner la production à un niveau compris
entre 32,5 et 33,00
millions de barils par jour, dans un contexte marqué par
une
chute des prix du brut, passant de 110 dollars mi-
2015 à un
niveau inférieur à 50 dollars.
La réunion du
comité technique à
Vienne ce vendredi devrait, à son issu, permettre d'identifier
le volume de production de
chacun des
membres de l'Opep, tout en discutant de la participation des pays non
membres durant la journée de samedi.
L'Opep avait invité 12 pays non membres, y
compris la Russie, l'Azerbaïdjan, le Kazakhstan
et le Mexique. L'Irak, le second plus grand producteur de
l'Opep après l'Arabie Saoudite, a insisté le week-end
dernier sur son exemption de l'accord d'Alger, en raison
de
son besoin des revenus généré par le pétrole.
L'Irak ajoute que son cas est similaire à celui du Nigeria
et
de le Libye, deux pays ayant été exemptés de l'accord
en raison des violences ayant causé des ravages au
sein
de leurs industries pétrolières. De leur
coté, l'Arabie Saoudite et ses alliés du Golfe avaient déclaré qu'ils
étaient disposés à
réduire la production
de
4 %.
Une mission d’affaires algérienne au
Chili : Exploiter
les potentialités de partenariat
Source : El Moudjahid
Le déplacement de la délégation d’hommes d’affaires algériens au
Chili est censé permettre aux entreprises algériennes
de
s’enquérir
des
potentialités
pour
d’éventuels
partenariats économiques avec les
opérateurs
chiliens et de
développer d'avantage les échanges commerciaux avec le Chili, dont le marché est
dominé par l’industrie et les services qui contribuent à hauteur de 96% du PIB
du
pays. Organisée par la Chambre algérienne de commerce et d'industrie, en collaboration
avec l'ambassade d'Algérie à Santiago et
avec
l'appui de l'ambassade du
Chili, en Algérie, ce déplacement, cette
mission, prévue du 18 au 22 novembre prévoit la
tenue d'un forum d'affaires,
le lundi 21 novembre, des rencontres entre hommes d’affaires des deux pays ainsi que des
visites de
sites
industriels. L’Algérie
et
le Chili dont les relations politiques ont atteint un niveau d’excellence évident, n’ont pas atteint, par
contre, le seuil souhaité en
matière de coopération économique. En fait,
les échanges bilatéraux qui se limitent au commerce,
sont
loin
des aspirations
communes.
Les chiffres avancés, lors d’un forum d’affaires organisé, en novembre 2015,
traduisent la faiblesse des flux commerciaux dans les deux sens alors que, les opportunités de partenariats ne
sont pas exploitées, en Algérie et au Chili. Le vice- ministre chilien des affaires étrangères présent à la
rencontre avait affirmé que,
les discussions avec les
officiels algériens avaient abouti à cette nécessité de
développer
les relations
économiques. Une convergence de vues
mue par une volonté partagée
quant à générer des
opportunités de
partenariat dans divers domaines, avait souligné, M. Riveros Edgardo. Ce dernier plaidera pour une coopération économique à travers le
secteur privé, les PME,
notamment, sur
la base d’une feuille de route élaborée
avec des objectifs
de
coopération ciblés. Dans cette optique, les deux parties avaient évoqué l’éventualité d’un accord
bilatéral de coopération
dont le cadre définirait le potentiel d’exportation, les secteurs de coopération et
les objectifs à
atteindre.
COMMERCE
Tassili Airlines innove
Source :
Le Soir d’Algérie
La compagnie Tassili
Airlines va changer
complètement les tenues de
son
personnel navigant, avons-nous appris.
En ce moment même, elle est à la
recherche d’une
entreprise capable de prendre en
charge l’ensemble du
processus, à savoir de la conception des tenues jusqu’à leur confection.
A rappeler que chez les
compagnies étrangères, il
est généralement fait appel à
un
grand couturier pour
la conception.
Le nouveau smartphone OPPO
F1s commercialisé en Algérie
Source :
Le Quotidien
d’Oran
Le géant chinois des smartphones OPPO a
annoncé que
le dernier-né de la série F, le «F1s» conçu pour la photographie, est désormais en vente en Algérie à partir du
29
octobre dernier
au prix de 34.900 DA. Surnommé le
«Selfie Expert»
et
présenté en grande pompe lors d'une grandiose cérémonie au Caire le 19 octobre, le F1s offre d'excellentes
caractéristiques caméra, avec une technologie avancée pour
permettre à ses utilisateurs d'immortaliser chaque moment, indique en ce sens un
communiqué d'OPPO. La
même source souligne que le
F1s a connu
un succès phénoménal en
Asie du Sud-Est et en
Asie du Sud, offrant des fonctionnalités et un design de qualité. «D'un point de
vue technique, ce smartphone est équipé
d'un capteur d'empreinte
digitale ultrarapide «Touch Access» avec une vitesse de numérisation de 0,22
secondes, d'une batterie de large capacité avec 3075 mAh, et d'une capacité de stockage
de 32 Go. Il est également équipé d'un processeur octa- core
et d'une
mémoire RAM de
3 Go, afin d'offrir une expérience utilisateur
exceptionnelle»,
ajoute le
communiqué qui
explique qu'avec une caméra frontale
de
16 mégapixels et une caméra arrière de 13
mégapixels, l'utilisateur
pourra immortaliser chaque moment avec une qualité exceptionnelle, quelque soient les conditions d'éclairage. «Le F1s
permet notamment d'activer plusieurs options photos tel qu'un système de flash amélioré pour les photos à faible luminosité, les photos grand-angle en mode panorama,
et un retardateur activable de la paume», soutient le fabricant chinois qui table
sur de grosses ventes en Algérie.
13ème édition des
International Business
Awards
2016
Source : Transaction
d’Algérie
Le Groupe Ooredoo s’est adjugé 21 prix lors de la 13ème
édition de l’International Business Awards (IBA), dont la
cérémonie de remise des prix a été organisée récemment à Rome (Italie). Deux de ces distinctions ont
été remportées par
Ooredoo Algérie,
lors de cette édition qui
a mis en compétition plus de 3800 entreprises de tous les secteurs représentant plus de 60
pays.
Ooredoo Algérie enrichit ainsi son palmarès de prix
internationaux
en remportant ces deux « Bronze Stevie
Awards » pour sa page Facebook dans la catégorie
« Meilleure Fan page facebook ou Groupe », et pour
l’application AZUL dans la catégorie « Education & Référence ». Le
Jury des International Business Awards a distingué la
page officielle et certifiée de Ooredoo qui
compte plus de trois millions de fans, et qui continue de
dominer le palmarès des pages les plus appréciées par
les internautes algériens et ce grâce à
son interface interactive, son espace dynamique
et ses contenus
constamment mis à jour. Les facebookeurs visitent
quotidiennement la page officielle de Ooredoo Algérie pour s’informer, partager des avis et commenter l’actualité de leur opérateur. Le même jury a également distingué l’application
mobile algérienne « AZUL »,
destinée à l’apprentissage de la langue Amazigh. Ella a
été
conçue par le jeune algérien, Karim Ould
Oulhadj, fondateur de BMS
Informatique, entreprise spécialisée dans la communication, l’audiovisuel, la confection des sites web, la création de diverses applications, pour
l’apprentissage de la
langue Amazigh. A noter
que l’application « AZUL » a été sélectionnée lors de la 2ème
édition du concours Oobarmijoo, lancé dans le cadre du programme iStart. Ce concours est destiné à encourager la création, par de
jeunes développeurs algériens,
d’applications
et
de solutions mobiles innovantes et
la promotion de contenus
« Made in Algeria ».
Les
International Business Awards
sont
les
seuls
prix
mondiaux qui reconnaissent les réalisations des
entreprises à tous les niveaux. L’organisation Stevie
Awards, qui organise les IBA, est basée aux
États-Unis. Les International Business
Awards sont reconnus comme les récompenses les plus convoitées au
monde depuis leur création en
2002. Ils récompensent les
accomplissements des entreprises ainsi que les contributions positives des
professionnels à travers le
monde opérant dans différentes domaines. Il y a lieu de
rappeler que lors de la 12ème édition des "International
Business Awards", organisée l’année dernière à Toronto
au Canada, Ooredoo a été
distingué pour son concours Media Star dans la catégorie Communications, Relations
Publiques et Médias, son programme « Oobarmijoo »
dans la catégorie Meilleur Nouveau Produit ou Service de l’Année et son Bundle 300 dans la catégorie Nouveau
produit & Produit Management.
REGIONS
Cimenterie de Timegtane (Adrar) : Un acquis important
pour le grand Sud
Source :
El Moudjahid
Le projet de cimenterie en cours de réalisation dans la wilaya d’Arar, qui a fait
objet, dimanche, de la visite du
ministre de l’Industrie
et
des Mines, Abdesselem
Bouchouareb, est appelé
à satisfaire la demande, sans
cesse croissante, sur
le ciment, pour
les projets de
développement
en
chantier dans le grand Sud du pays.
Fruit d’un partenariat algéro-chinois et d’un investissement de 21 milliards
DA, cette future cimenterie, occupant une surface de 32 hectares dans la
commune de Timegtane, territoire du Tidikelt (260 km
est
du chef lieu de la wilaya d’Adrar), offre une capacité
de
production prévisionnelle annuelle de 1,5
million de tonnes, a indiqué le chef de projet, Mustapha
Seddiki. Selon le responsable, ce projet qui générera
1.100
emplois, dont 400 emplois permanents, relève
du groupe industriel El-Hamel Sidi Moussa qui contribue,
de
son côté, à la création, de plus, de 3.500 emplois à
travers ses différentes
entités
économiques installées dans la région. Choisi pour
son
expérience avérée dans
la production de pareilles matières à travers le
monde,
le partenaire chinois
sera chargé, en vertu d’un contrat
de
coopération de sept ans, de la gestion de cette usine en phase d’exploitation en vue d’assurer la formation de la main-d’œuvre algérienne
et le transfert du savoir
faire et la maîtrise des technologies de pointe utilisées
dans la gestion de cette entité économique.
Larges perspectives pour
satisfaire les besoins des
projets dans la région
Première du genre dans le Grand Sud, la cimenterie de
Timegtane ouvre
de larges perspectives de
développement dans la région dans la mesure
où
elle contribue, à la
faveur de l’alimentation en
ce produit nécessaire des projets de construction, à la propulsion de la cadence de développement et d’hâter les rythmes de
chantiers retenus
pour la région. Dans ce même
ordre d’idées, cet ambitieux projet, défi à relever par les pouvoirs publics
en matière de réduction
de
la facture d’importation de
ce produit très
demandé, devra
mettre à la disposition de
ses clients les différentes
variétés de ciment, dont les ciments pétroliers que cette
unité en offrira une quantité de 200.000 tonnes/an à la
satisfaction des entreprises pétrolières établies dans
la région. La localisation de la cimenterie dans cette région, en chantier
en
conformité avec les normes mondiales respectant la sécurité et l’environnement,
vient répondre à une série de critères, dont la
disponibilité de la
matière première du produit, susceptible de prévoir
en
hausse la productivité,
d’influer positivement sur le prix du sac de ciment qui sera très compétitif en
raison de la réunion des conditions de production, a fait savoir ce responsable. S’agissant du volet environnemental, la même source a fait part de la prise en considération des normes
internationales en
vigueur, rationalisation
de
la consommation
électrique par l’équipement de la
cimenterie en générateur
d’une capacité de production de 52
Mégawatts, indépendant du
réseau
public. Ce projet, dont les travaux de réalisation
ont été lancés
début février 2016 pour
une
durée de 11 mois,
fera partie des projets structurants à
garantir l’équilibre de
développement dans les régions du grand Sud du pays, impulser
la cadence économique susceptible de contribuer à l’amélioration du cadre de vie
de
la population
locale et relancer les activités juvéniles, accompagnant de pareils grands projets.
Les responsables
de
ce projet industriel aspirent, après son
entrée en phase de commercialisation, prévue pour la
fin du premier trimestre 2017, et la satisfaction des