REVUE DE PRESSE CCI ALGERO-FRANÇAISE DU 07 DECEMBRE 2016
mercredi, 7. Septembre 2016
SOMMAIRE
Marché & Economie..........................................................................................................
2
Relations algéro-belges : Accroître les échanges économiques.............................................. 2
Relations américano-méditerranéennes : Le potentiel de l’Algérie
présenté à Washington . 2
Le PDG de Sonelgaz : Aucune hausse de l’électricité et du
gaz
pour 2017 ............................. 3
Ciment : autosuffisance dès 2017 ........................................................................................... 3
Nouveau texte pour encadrer la production
et la commercialisation
du café ....................... 4
Issad Rebrab
pense que l’Algérie peut devenir
l’usine de l’Europe .........................................
5
Le train
sifflera
dès
ce dimanche à
Zéralda............................................................................. 5
États généraux
de
l’aviculture................................................................................................. 6
Commerce ........................................................................................................................ 6
Alliance assurance présente son bilan : «81% de dossiers automobiles réglés» .................... 6
Le cahier de charges du projet "Scania"
à Mascara approuvé par le ministère de l'industrie 7
Capten
Al Marsa met le Cap
sur l’Afrique ............................................................................... 7
Le cabinet algérien
Bravehill ouvre une filiale en Mauritanie................................................. 8
Faderco compte exporter
ses
produits vers les pays d’Afrique ............................................... 8
Un comparateur spécialisé en smartphones et tablettes ....................................................... 8
Régions............................................................................................................................. 9
Oran : 16e édition
du Salon de l'automobile de l'Ouest «Autowest
2016» ............................ 9
Ghardaïa : Formation
de
120 férus de l’aquaculture .............................................................. 9
MARCHE & ECONOMIE
Relations algéro-belges : Accroître les échanges
économiques
Source : El Moudjahid
Le Premier
ministre du royaume de Belgique, Charles
Michel, a entamé une visite de travail de deux jours
en Algérie, dans le cadre
du
renforcement de la coopération algéro-belge. M. Michel a été accueilli, à
son arrivée à l'aéroport international Houari-
Boumediène, par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, le
ministre d'État, ministre des Affaires étrangères et de
la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, et des membres du gouvernement. Cette visite devra
permettre aux deux parties d'évaluer l'état des relations
bilatérales et examiner les mécanismes susceptibles de
permettre d'accroître les échanges économiques, d'une part, et d'aborder, d’autre part, dans le cadre d'un esprit de
dialogue
et de
concertation, les questions liées
à la circulation des personnes et des affaires sécuritaires.
Les
entretiens porteront
également sur les questions internationales et régionales d'intérêt commun, en particulier celles relatives à l'évolution de la situation politique et humanitaire dans la sous-région.
M. Charles Michel : « Ma visite vise à renforcer les
liens entre nos deux
pays »
Le Premier ministre du royaume de Belgique, Charles Michel, a indiqué que sa
visite «vise à renforcer les liens» entre son
pays et l’Algérie et à développer la
coopération bilatérale dans les différents domaines. Dans une déclaration à la
presse, le Premier ministre
belge a précisé sa visite en Algérie «devra permettre aux deux pays de renforcer leurs relations dans
les différents domaines». Il sera ainsi question d’«examiner
les moyens de renforcer la coopération économique et
l’investissement, mais aussi la sécurité, avec la lutte contre le terrorisme, ainsi que la
question de l’immigration, et voir comment travailler ensemble pour
y faire face», a-t-il
précisé.
M. Bedoui reçoit le secrétaire d’État belge à l’Asile et
aux Migrations
Le ministre de l'Intérieur
et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui,
a reçu à Alger le secrétaire d'État belge à l'Asile et aux Migrations, Théo Francken.
L'entretien, qui s'inscrit dans le cadre de la visite de travail
que
devra effectuer le Premier ministre belge, Charles Michel, à Alger en fin d'après-midi, s'est déroulé en présence du Directeur général
de la Sûreté nationale (DGSN), le général-major, Abdelghani
Hamel.
La Belgique veut renforcer sa coopération sécuritaire
avec l’Algérie
Le secrétaire d’État belge à l’Asile et à la Migration, Théo
Francken, a exprimé, hier à Alger, la volonté de son pays
à renforcer sa coopération
avec
l’Algérie en matière de
lutte contre le terrorisme. Dans une déclaration à la
presse à l’issue de son entretien avec le ministre de l’Intérieur
et
des Collectivités
locales, Noureddine
Bedoui, M. Francken a précisé que «la coopération dans le domaine sécuritaire,
en particulier la lutte
antiterroriste,
a été au centre des discussions».
Il a souligné que
la Belgique, à l’instar d’autres pays
européens, fait face à la menace terroriste». Il a relevé, à cet égard, que «l’Algérie possède beaucoup d’expérience en
matière de lutte contre le terrorisme», exprimant le souhait de son pays de «bénéficier de cette
expérience, à travers l’approfondissement de la
coopération bilatérale dans
ce domaine».
Relations américano-méditerranéennes :
Le potentiel de
l’Algérie présenté
à
Washington
Source : El Moudjahid
Les atouts de l’économie algérienne ont été présentés à
Washington, dans le cadre d’un forum international
sur
les relations américano-méditerranéennes, organisé
par
le Think Tank américain Center for Transatlantic
relations.
Intervenant au cours de cette rencontre de deux jours, à laquelle prennent part
13 pays de la Méditerranée, le membre du Conseil de la nation, Hafidha
Benchehida, a évoqué l’amélioration du climat des affaires et la stabilité dans le pays qui
permettent à l’Algérie de devenir une destination attrayante
pour l’investissement étranger.
Mme Benchehida,
qui s’exprimait lors d’une session consacrée au climat des affaires dans les pays
du Maghreb, a souligné que l’Algérie
restait une référence
en matière de stabilité
et un «exportateur de paix», un constat qui
a été souligné lors du dernier forum sur les
dialogues méditerranéens, qui s’est
tenu samedi
dernier à Rome, a-t-elle rappelé. De son
côté, le vice-
président du
Forum des chefs d’entreprises (FCE),
Mehdi Bendimerad, a fait une présentation sur les réformes économiques menées par
l'Algérie,
en
mettant en exergue les principales mesures prises par le
gouvernement pour faciliter l’investissement, à l’instar de la révision du code de
l’investissement, l’accès au
foncier industriel et la réduction des
taxes.
L’objectif étant d’atteindre un taux de croissance de
plus de 7% annuellement, de développer un
tissu national de production de biens et de services destinés
à l’exportation, de réformer l’administration économique et d’intensifier la création des
PME, a-t-il résumé. Le président du Conseil d’affaires algéro- américain, M. Smail Chikhoune,
qui a été le modérateur du débat consacré au
rôle du secteur privé dans la création de la croissance, a observé que le processus de
la diversification de l’économie algérienne s’est accéléré ces dernières années, caractérisé par des investissements importants dans les secteurs
hors hydrocarbures.
Actuellement, les investissements américains en Algérie
ne
sont plus cantonnés dans le gaz et de pétrole, mais se sont élargies à d’autres secteurs,
comme l’agroalimentaire, la
santé et l’industrie
pharmaceutique, renforçant le partenariat et les échanges commerciaux entre les deux
pays,
a-t-il noté. Au cours de ce forum, l’accent a été mis sur la nécessité de relancer la
coopération économique entre les États-
Unis et les pays
de la
Méditerranée.
Ces relations transatlantiques, axées
essentiellement sur le domaine sécuritaire,
devraient être réinventées et élargies aux domaines économique et commercial, ont
relevé les panélistes. Selon le Think Tank américain, les pays de la Méditerranée représentent un
marché
potentiel de 800
millions de consommateurs, soit le double du volume de celui de la région de libre échange nord-américaine, et avec lequel les États-Unis devraient renforcer la coopération économique et commerciale.
Il a été relevé durant cette rencontre que l’essentiel des
investissements
étrangers
destinés à cette région sont
captés par les pays
de la rive Nord de la Méditerranée.
Entre 2008 et 2015, les IDE drainés par la rive Sud ont baissé de moitié, selon les estimations présentées par ce Think Tank, qui a relevé la baisse des IDE dans ces
pays
qui pâtissent des effets du ralentissement
économique, des crises
migratoires et des
menaces
sécuritaires pouvant impacter plusieurs autres pays. Ce
centre de recherche
américain a estimé à ce titre qu’une coopération
transatlantique renforcée
avec ces pays
était en mesure de ramener la paix et la prospérité
dans la région.
Le PDG
de
Sonelgaz : Aucune hausse de
l’électricité et du
gaz pour 2017
Source : El Moudjahid
Le PDG de Sonelgaz, M.
Mustapha Kitouni, qui a
effectué, hier, une visite de travail dans la wilaya de
Bordj Bou-Arréridj, a évalué les créances du groupe à 60 milliards de dinars. Ce qui
ne
permet pas, selon lui, la réalisation des investissements dont
le groupe a besoin pour
améliorer la qualité de service.
M. Kitouni, qui a précisé
que celles de la wilaya
de Bordj Bou-Arréridj s’élèvent à
40
milliards de centimes, a déclaré que le groupe a
besoin de produire
2.000 mégawatts supplémentaires pour permettre à
ses clients de passer un
été
tranquille. «Nos capacités
actuelles sont de l’ordre de 13.000 mégawatts»,
dit-il.
«À l’horizon
2020, nous allons produire également 400
mégawatts à partir des
énergies renouvelables», a-t-il
ajouté
Le PDG, qui a affirmé que les créances étaient
détenues à moitié par les particuliers, a précisé que
des échéanciers seront cependant accordés aux
clients. L’autre moitié, qui est à la charge des administrations et
des
entreprises, sera discutée avec
les walis pour
trouver une solution, a dit M. Kitouni, qui a reconnu que le comptage effectué actuellement par les agents peut
comporter des erreurs. «Cela nous a poussés à adopter
des compteurs
intelligents qui
offrent
la
possibilité
d’éviter aussi
la surfacturation», a-t-il
noté.
Au passage, M. Kitouni,
qui a rappelé
que 50% des
budgets des APC va à l’éclairage public, a
suggéré aux élus
locaux d’utiliser les énergies renouvelables.
Il a également déclaré qu’aucune hausse des tarifs de l’électricité et du gaz pour 2017 n’est prévue pour le moment, rappelant que la wilaya de Bordj
Bou-Arréridj est la première au niveau national
pour l’électrification,
avec
un taux de 98%, et 90% pour
le
gaz.
M. Kitouni a mis en service justement les réseaux de gaz naturel de deux localités, à savoir Bendaoud et Harraza. Ces deux localités sont les dernières avec
celle d’El- Main, au nord de la wilaya, à être raccordées au réseau de gaz.
Ciment :
autosuffisance dès 2017
Source : El Moudjahid
Le groupe public de ciment GICA est
en phase de
certification de sa
production en
ciment pétrolier,
en prévision du lancement
de
la fabrication, pour la première fois
en Algérie, de ce type de matériau,
a indiqué son PDG, Rabah Guessoum, dans un entretien à
l'APS.
Ce groupe
public avait signé en
2015 un protocole d'accord avec le
ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
scientifique pour pouvoir identifier, avec la collaboration
de
Sonatrach, les caractéristiques
techniques de ce ciment qui est totalement importé par le secteur pétrolier. Sous forme d'échantillon, 300 tonnes de ce ciment ont
été
produites en novembre dernier avant d'être remises à Sonatrach pour opérer
des
tests. « Cette quantité a
été
testée sur un puits pétrolier et les résultats sont très satisfaisants. Nous
avons reçu des attestations de conformité de
laboratoires
de recherches
étrangers qui
travaillent
avec Sonatrach », affirme
le même responsable.
A
l'issue de cette phase, ce cimentier public est passé à celle de la certification avant de lancer prochainement sa production régulière au niveau de ses unités de production, sachant que la demande nationale est de
300.000 tonnes/an.
Estimant que ce groupe dispose de
réelles capacités pour répondre à toute la demande
nationale en ciment pétrolier, M. Guessoum fait savoir que ce matériau spécifique sera
produit par une des lignes de la cimenterie d'Aïn El K'bira (Sétif)
pour en
fournir à Sonatrach
comme il sera également proposé
aux
sociétés pétrolières étrangères activant en Algérie.
L’objectif
d'autosuffisance en
ciment
réalisable
dès
2017
Quant à l'ambition de l'Algérie d'atteindre une autosuffisance en ciment toutes catégories dès 2017, le
même responsable considère que c'est un objectif réalisable avec les capacités
de production des secteurs public et
privé. Concernant GICA, les quantités
produites
ont augmenté à près de 10,2 millions
de tonnes (Mt) à fin octobre 2016 contre 9,8 Mt un an plus
tôt,
soit une hausse annuelle de 4%. Sur l'année 2015, la
production du ciment par cette société s'était établie à
12,1 Mt pour une capacité
installée de 11,5
Mt.
Selon ses estimations,
les douze cimenteries de ce groupe devraient
clôturer l'année
2016 avec une
production supérieure à 12,1 Mt. Cependant, le groupe n'a
pas réalisé de nouvelles usines en 2016 mais a investi un
montant
de 88,3 milliards DA pour
la réalisation de nouvelles lignes de production dans les usines existantes ainsi que dans leur maintenance et entretien
: « Gica a investi pour
optimiser ses capacités déjà
installées grâce aux
nouvelles technologies d'exploitation », assure-t-il.
Sur l'année 2017, il table sur
une production de 13,2
Mt grâce à l'entrée
en production de la deuxième ligne de production de
la cimenterie d'Aïn
El Kebira. S'agissant de ses projets de
cimenteries de Béchar (1 Mt) et d'Oum El Bouaghi (2 Mt) dont les contrats ont déjà
été
signés et les travaux de réalisation entamés, ils devraient être
réceptionnées dès fin 2018 pour entrer en production
en début 2019.
Concernant les extensions, la production de la
cimenterie d'Aïn Kebira,
dont les travaux
de la nouvelle ligne de production
sont achevés, triplera
pour passer d'1 MT actuellement à 3 MT d'ici début 2017, tandis que celle
de Zahana (Mascara) sera
également dotée d'une nouvelle ligne de production de 1,5 MT, actuellement
en cours de d'installation,
et qui
devrait être réceptionnée fin 2018. Celle de Chlef devra doubler en
passant de 2 à 4 MT annuellement, précise le premier responsable. Ainsi, les capacités de production
de groupe devraient atteindre les 20 Mt d'ici à 2019 contre
12 Mt actuellement. La combinaison de ces capacités de
production
avec celles du secteur privé devrait permettre d'atteindre 25 Mt de ciment en 2017 pour
une
demande nationale
de
24,5 Mt. Actuellement, l'Algérie dispose de 14 cimenteries
publiques et privées
d'une capacité de production globale de près de 19,5
MT/an alors que la demande est
de 24,5 MT annuellement, soit un déficit de 5 MT qui est comblé par
les importations. Mais
l'autre défi à relever est celui de la diversification de l'offre, selon M. Guessoum qui fait savoir
que
le groupe a entrepris une étude du
marché
pour identifier minutieusement tous les types de ciment demandés pour les produire localement, sachant que la
plupart des cimenteries du pays fabriquent actuellement un seul type de ciment appelé « ciment
42,5 » alors qu'il existe 27
types de ciment à travers le monde. Interrogé sur les
prix de vente du ciment, le même responsable relève
que
ceux appliqués par GICA
sont
maintenus
au même
niveau, et ce, même
si sur le marché, certains
opérateurs privés ont augmenté
les
leurs de 20%. « GICA est un opérateur public.
Il doit être le régulateur de marché, donc les prix
sont maintenus. Et nous veillons à baisser les charges pour une production à moindre coût afin de ne pas pénaliser
le consommateur
», assure-t-il.
Nouveau texte pour encadrer la production et la commercialisation du café
Source : El Moudjahid
Le gouvernement a adopté récemment un
décret
exécutif encadrant la
production
et la
commercialisation du café, a appris l'APS auprès
de responsables
du
ministère du Commerce. Ce texte concerne exclusivement le café « torrefacto »,
c'est-à- dire le café moulu
où l'ajout du sucre est toléré. Ces nouvelles
mesures interviennent suite aux
résultats d'une enquête menée par le ministère du Commerce
qui
a révélé plusieurs infractions dans la production et la commercialisation du café dont la présence du sucre dans le café moulu et le non-respect des proportions de sucre ajouté dans le produit Torrefacto, expliquent les
mêmes responsables. Ainsi, ce décret exécutif, qui porte
sur les caractéristiques de ce type de café ainsi que les
conditions et modalités de sa mise à
la consommation,
fixe à 3% au maximum, au lieu de 5% jusqu'à maintenant, les proportions tolérées en sucre ou en caramel ou en
amidon dans la composition
du café torréfié au sucre,
précise la même source. Abrogeant
le décret 92-30 relatif aux spécifications et à la présentation des cafés,
le nouveau texte interdit
clairement la torréfaction du café vert avec du sucre ajouté et fixe sa teneur en eau ou en humidité à un taux inférieur à 12,5%.
Les dispositions de ce règlement
autorisent, pour les
cafés torréfiés, décaféinés ou non,
certaines opérations
comme le mélange de cafés d'espèces (Arabica
et Robusta) ou
de provenances
différentes (Vietnam, Indonésie, Inde...). Elles
autorisent également le
mélange
des cafés avec les succédanés ainsi que le
mélange d'extrait de café et de
succédanés à condition que la dénomination du produit
ne
contienne pas le mot « café » et que celui-ci figure uniquement dans la partie composition de l'emballage.
Il s'agit également de l'autorisation
d'enrober
les graines de
café avec une matière inoffensive, non hygroscopique, à condition que la
nature d'enrobage et
sa proportion soient mentionnées
sur l'emballage. Les opérateurs doivent, selon
le même décret, fixer des valeurs indicatives ou les taux tolérés pour
la substance toxique « acrylamide » pour réduire le taux d'exposition
à cette substance. Ils doivent également prendre en charge les
nouvelles
gammes de
cafés ou les dérivés de café tels que le café décaféiné, café
soluble, café instantané, café aromatisé, café moulu aux épices et les
extraits de café. Le texte prévoit l'extension du
champ d'application des cafés qui couvrira, ainsi, à l'avenir
toute dénomination contenant soit
le mot café, soit un
dérivé de ce mot, soit
le mot d'une espèce ou d'une variété de
ces espèces. Il réserve la dénomination café
sans qualification au café torréfié, et café-boisson obtenu à partir d'eau
potable et du café torréfié. Les intervenants dans le processus de
mise à la consommation du café
doivent se conformer aux dispositions de ce décret dans un délai de six mois
à compter de sa date de publication au Journal officiel.
Iss ad R ebrab pense q ue l’Algérie peut
devenir
l’usine de l’E uro pe
Source : TSA
Issad Rebrab pense que l’Algérie peut devenir l’atelier
de
l’Europe grâce à la co-localisation.
« Oui, l’Algérie peut devenir l’atelier de
l’Europe. Mais l’industrie
française a de beaux jours devant elle, pour peu qu’elle
investisse. Pour moi, l’idéal pour sauver des emplois
en France, c’est d’aller vers la « co-localisation », c’est-à-
dire de fabriquer les produits de haute qualité dans leurs pays d’origine et les produits très compétitifs dans des pays comme l’Algérie »,
a déclaré le président de Cevital, dans un
entretien au quotidien économique français
Les
Échos, publié ce mardi
6 décembre.
Pour argumenter, il
cite le cas de Brandt, une société
française qu’il a racheté et qui produit en Algérie, tout
en gardant des activités et des emplois en France. « Brandt va
réaliser un chiffre d’affaires d’environ 500
millions d’euros cette
année
contre 370 millions
en
2015 et 170 millions en
2014. Nous devrions être
rentables l’an prochain
si l’on exclut les coûts de
structure. Mais Cevital
n’aurait pas réussi à redresser Brandt France sans investir fortement en Algérie », explique-t-il.
Issad Rebrab annonce des investissements de 300 millions de dollars dans l’usine de Brandt à Sétif. « D’ici à 2020, nous aurons investi un peu plus de 300 millions d’euros sur les sites de Sétif 1 et 2. Le premier emploie
1.050 personnes, le second, qui sera inauguré en
2017, aura 7.500 salariés. En
2020, Sétif 2 produira de 8 à
10 millions d’appareils électroménagers par an », détaille le patron de Cevital, qui vise un chiffre d’affaires de
5 milliards de dollars dans l’électroménager à l’horizon
2020.
Il ne compte pas seulement multiplier par dix le chiffre d’affaires de Brandt, mais il veut se mesurer aux grandes
marques internationales haut de gamme. « Avec nos
quatre marques Vedette,
Brandt, Sauter et De Dietrich,
nous voulons concurrencer des
acteurs premium comme Whirlpool, Bosch ou Electrolux », affirme
Rebrab, en ajoutant que son groupe « a pour objectif de
réaliser 25 milliards de dollars de revenus à l’horizon
2025, dont 50 % à l’international ».
Le train sifflera dès ce dimanche à Zéralda
Source : Liberté
Cette nouvelle liaison
ferroviaire concernera Birtouta,
Tessala El-Merdja, Sidi
Abdallah, l’université Sidi
Abdallah et Zéralda.
La nouvelle liaison ferroviaire Birtouta-Zéralda, longue
de
23 km, inscrite dans le cadre de l’aménagement de la région algéroise portant sur
la modernisation et l’extension du réseau ferroviaire de la banlieue d’Alger, sera inaugurée
dimanche 11 décembre par le président de la République, Abdelaziz
Bouteflika, apprend-on
de sources dignes de foi. Le projet de cette ligne ferroviaire
vient ainsi désenclaver la région ouest d’Alger,
notamment les localités côtières de Zéralda qui ne sont pas encore reliées
au réseau ferré. Une œuvre qui
profitera, à coup sûr, aux milliers d’usagers pénalisés
par les embouteillages qui caractérisent
souvent les
régions d’Alger-Ouest ; cette ligne qui draine 50
000
voyageurs/jour
sera une véritable bouffée d’oxygène
pour les milliers
d’automobilistes qui empruntent quotidiennement ce trajet.
Le directeur général
de l’Anesrif (Agence nationale
d’études et de suivi de la réalisation des investissements
ferroviaires), Azzedine Fridi, précisera à ce propos que
les travaux de ce projet sont
totalement finis
et réceptionnés. “On sera au rendez-vous. Ce projet a été
livré dans sa totalité à la date prévue. Les années 2016
et 2017 sont importantes pour
nous, dans la mesure où
d’autres projets seront réceptionnés”, révélera le DG
qui
a boosté l’agence depuis son arrivée en 2011. De son côté, le directeur du
projet, Rachid Benmahdjoub, est
fier d’avoir participé à la concrétisation de ce grand
projet. “Les défis ne m’ont jamais fait peur, au contraire ils m’ont encouragé à
multiplier les efforts. En fait, je
suis vraiment fier d’avoir
contribué pleinement à la réalisation de ce projet”,
affirmera cet ingénieur. Par ailleurs, les habitants de
cette partie d’Alger-Ouest,
rencontrés sur les lieux, n’ont pas caché leur satisfaction quant à la réception
de
ce grand projet et attendent avec impatience la
mise
en fonction de cette ligne
ferroviaire. “On attend
avec
impatience de voir le train
circuler pour la première fois dans cette région, il va
régler tous les problèmes de transport
et créera une activité particulière dans notre région, il boostera toutes les communes qu’il
traverse”,
nous ont-ils
fièrement déclaré. Ce tronçon
englobe, en outre, cinq gares : Birtouta, Tessala
El-Merdja, Sidi Abdallah, Halte université Sidi Abdallah et enfin Zéralda. Notons que cette liaison ferroviaire est à double voie électrifiée et le train
roulera à 140 km/heure, et dont la signalisation
sera équipée du système ERTMS niveau 1 très
performant, et une télécommunication
dotée d’un système type GSM-R. Poursuivant son
programme de
développement, l’Anesrif
a lancé, faut-il le rappeler,
deux études de prolongement de
cette ligne, la
première s’étale de
Zéralda
jusqu'à Aïn
Bénian d’un
linéaire total de 15 km ; la seconde dont les
études
ont été confiées aux Sud-Coréens qui ont déjà effectué une visite le long du couloir de
ce futur projet qui démarre
de
Zéralda pour atteindre la ville côtière de Gouraya en passant par Tipasa
et Cherchell longue de 91,7 km.
À l’avenir, les Algériens
pourront rejoindre les villes
balnéaires de Tipasa et Cherchell
par un train moderne
électrifié à double voie. Les
pouvoirs
publics ont investi
des
milliards de dollars dans ce secteur stratégique pour
le développement du pays. La SNTF a
programmé, à partir de la gare centrale d’Alger, des liaisons sur le nouveau tronçon, Birtouta-Zéralda espacées d’une heure, la durée de la navette entre les deux
communes
est de 50 minutes. Notons par ailleurs que le coût global
de ce projet,
confié à
un
consortium algéro-turc
composé d’Infrarail (Algérie), Yapi Merkezzi (Turquie) et Setirail (maîtrise d’œuvre), est de l’ordre de 35 milliards
DA.
L’autre grand projet, Thénia-Tizi Ouzou,
sera réceptionné dans
le
courant de l’année prochaine.
États
généraux de l’a viculture
Source : Liberté
S’étalant sur quatre jours (5-8 décembre), cette
manifestation “one shot” vise à établir un contact direct
entre opérateurs
et
répondre aux attentes des décideurs économiques le long de la chaîne de production animale.
Placé sous le thème “Aviculture : états généraux, enjeu
et perspectives”, le 4e Salon international de zootechnie s’est
ouvert lundi à la salle omnisports du stade
24-
Février-1956 de Sidi Bel-Abbès, avec la participation de
70 exposants,
notamment des producteurs,
des éleveurs et des opérateurs
économiques représentant différentes wilayas
ainsi que
des entreprises spécialisées étrangères dans les filières animales en
général et la filière avicole en particulier, venues d’Italie, d’Espagne, de France et des Pays-Bas, pour asseoir ensemble une stratégie d'avenir dans un esprit gagnant- gagnant. S’étalant sur quatre jours (5-8 décembre), cette manifestation
“one shot” vise
à établir un
contact direct entre opérateurs et répondre aux
attentes des décideurs économiques le long de la chaîne de production animale.
Selon les organisateurs, “ce rendez-vous annuel se tient dans une situation actuelle économique très difficile où le secteur agricole
doit
jouer un rôle important pour
assurer notre sécurité alimentaire
et y
apporter une valeur ajoutée ainsi que
pour résoudre les divers problèmes de l’aviculture”.
À ce propos,
Laâla
Boukhalfa, commissaire du salon, a déclaré : “Les problèmes de l’aviculture
ont été posés à
maintes reprises, mais hélas aucune solution ne leur a été trouvé,
notamment
en ce qui concerne
la fluctuation des prix qui
pénalise et l’éleveur
et le
consommateur. En l’absence d’une organisation
sur le terrain, qui est
du ressort des professionnels et des associations et non de l’administration, le prix du poulet a dépassé 250 DA le kg.” Il estime que “pour résoudre
les problèmes de l’aviculture, il faut commencer par la régulation pour atteindre les besoins du marché qui est
de
l’ordre de 600 000 t. Il y a aussi le problème en amont
des
producteurs qui
est
très important par rapport aux abattoirs qui sont eux aussi déficitaires et n’arrivent pas
à satisfaire au-delà de 4% de la production nationale.
À cela s’ajoute également le grand déficit des structures de stockage et
des chambres de conservation”.
S’agissant du développement de la filiale lait, dont
la situation actuelle se caractérise par un déséquilibre
total, menaçant même son avenir en l’absence d’une politique de régulation
du
marché, le commissaire du salon
a préconisé la prise en
charge de trois volets, le
choix de la vache qui s’adapte au climat algérien, ou la sélection de la
race locale, la disponibilité de l’aliment
vert
et non de l’orge qui est l’appoint, et le côté sanitaire
et hygiène.
“Normalement, une vache laitière peut
donner jusqu’à
70
l/j, alors qu’actuellement
on est à 20
l/j,
ce qui est insuffisant et augmente nos charges. Donc, si on arrive à maîtriser ces trois volets, on peut
dire que l’Algérie est un
pays à vocation lait.”
COMMERCE
Alliance assurance présente son bilan :
«81% de dossiers automobiles
réglés»
Source : Le Soir d’Algérie
Hassen Khlifati,
PDG
d’Alliance assurance,
était hier l’invité d’un forum organisé par le journal arabophone
El-Mihwar. Le responsable de cette agence a dressé à cette occasion un bilan détaillé du travail mené par
son groupe. Il a ainsi annoncé que 81% des dossiers déposés
dans le cadre de remboursements pour les accidents de
voiture
ont été réglés dans
des
temps corrects, «sinon plus grâce
aux efforts fournis par
Alliance assurance». Cette
proportion, poursuit-il, «veut dire que 8 dossiers sur dix ont été réglés.
Sur les 10 000 dossiers reçus, 81%
ont
été traités et leurs clients remboursés». Dans le
même contexte, Hassen Khlifati a fait savoir que le volet
«remboursement automobile» d’Alliance assurance a
connu un essor de
3,5% comparativement à l’année
précédente. Dans son bilan
global, Alliance assurance a enregistré, dit-il, un essor de 3,42% par
rapport aux années
précédentes.
Le cahier de
charges du projet "Scania" à Mascara approuvé par le
ministère de l'industrie
Source : Maghreb Emergent
La commission d’évaluation technique au
ministère de l’Industrie et des Mines a donné, en fin novembre
dernier, son accord pour le cahier de charges proposé par une société
privée pour l’installation
d’une usine automobile de marque "Scania"
dans la wilaya de
Mascara, a-t-on appris lundi
de l'investisseur.
Le directeur de la société "Attifi", Mohamed Mezoughi
a indiqué, à l'APS, que le ministère a approuvé, par
sa commission d’évaluation
technique, le cahier de
charges proposé en octobre dernier après la levée de
réserves techniques et juridiques. Après la réalisation de
l’usine, un
agrément devra
être accordé
à
chaque
modèle de produits avant le lancement de la
production.
Le projet de réalisation de l’usine de fabrication et montage de véhicules de poids lourds et de bus, lancé au parc industriel d’Oggaz au Nord de la wilaya, en collaboration avec la
société suédoise "Scania", comprend cinq
modèles de véhicules dont des bus de
transport des voyageurs.
Le montant
l’investissement est estimé à 900 millions DA dont les deux tiers d’un financement bancaire. La
sortie d’usine du premier
véhicule est attendue en octobre 2017. Une moyenne de 600 unités/an est
prévue avec un taux
d’intégration nationale de 40 pour cent.
Le partenaire
suédois assure l’accompagnement technique, la licence de production gratuitement, le contrôle de la
qualité, la formation et l’accompagnement
du
réseau des sous-traitants avec
l’usine.
La société
"Attifi" a conclu une convention avec le centre
de formation professionnelle spécialisé de la wilaya d’Oran pour former des ouvriers
à différents métiers retenus, par des techniciens relevant de la firme
"Scania".
Capten Al Marsa met le Cap sur l’Af rique
Source : Algérie Eco
Le retour à la consommation de la sardine est une
option incontournable dans la stratégie de la société
Capten, du Groupe Bairi. « L’apport nutritionnel de
l’Oméga 3 pour l’être humain est fortement présent dans la sardine que dans d’autres poissons», a indiqué le Directeur commercial, Redha Oukkal, lors de notre
rencontre au Forum africain de l’investissement et des
affaires, qui s’est tenu du 3 au 5 décembre, au
Centre international des Congrès (CIC).
« Tout a commencé avec le rachat par le Groupe Bairi
de
Capten, auparavant relevant du secteur
étatique, sous la dénomination de l’Ensep », a-t-il
également déclaré en préambule de
notre discussion.
« Ensuite, poursuit-il, on s’est spécialisé, depuis
maintenant un peu plus de deux ans, dans la production,
la mise en boite et la commercialisation des produits de
mer, notamment
la sardine,
sur le
marché national. Notre produit s’appelle Capten Al Marsa ». Il
a également ajouté que, « le recul
dans la consommation
du
thon, pour des raisons de cherté de ce produit,
nous a incités à lancer une stratégie offensive basée sur le
rapport prix/emballage, et ce, en
mettant l’accent, essentiellement sur la qualité de la matière première, la
sardine de Méditerranée, avec des préparations variées,
à savoir sardines à la tomate, à la harissa, aux aromates et huile d’olive, au citron,
à l’huile végétale ».
Ne se contentant pas de ces aspects,
Capten, selon
toujours notre interlocuteur, a « tablé sur l’adaptation des saveurs de la sardine aux traditions culinaires
et gustatives des régions. Pour l’exemple : le pimenté pour
les régions de l’est». Pour plus d’efficacité, Oukkal
a relevé « l’apport d’un réseau de distribution, ayant
atteint un taux de
70% de couverture nationale ».
« Notre objectif est d’avoir une représentation made in
Algeria, dans le Continent africain », nous a dévoilés
notre interlocuteur,
quant à
l’objectif recherché
derrière leur participation à ce Forum
« Avant cela,
ajoute-t-il, il fallait atteindre une présence nationale de plus de 80%, restant du domaine du possible depuis
qu’on
a eu un partenaire à Oued Souf ».
Enfin, il a déclaré qu’«
une
forte demande émane de
l’Afrique, principalement de l’Afrique de
l’Ouest (Mauritanie et Guinée). Notre souci est aussi de cibler le Cameroun, plaque tournante du continent. ».
A titre d’information, Bairi Groupe est
versé dans l’industriel (Ival) et l’agro-alimentaire. Pour Capten, le Groupe s’est
doté d’une usine à Ténès, dans la
wilaya de Chlef,
et d’un siège social
à Dar El Beida, Alger.
Le cabinet algérien Bravehill ouvre une filiale en Mauritanie
Source : Algérie Eco
Le cabinet de conseil algérien Bravehill (BH advisory Spa) dirigé par Mohamed Skander
sort de ses frontières pour
ouvrir une filiale en Mauritanie.
BH Mauritanie sera créé en partenariat avec le cabinet
local E&D et l’un des principaux groupes mauritanien, le groupe AON. Le MoU pour la création de BH Mauritanie devrait
être
signé à l’occasion du forum Africain d’investissement et d’affaires qui s’ouvre ce jour à Alger et qui se déroule jusqu’au 5 décembre.
Après l’absorption de la société de recrutement FAR (Franco Algérienne de
Recrutement) le
groupe BH
entend se développer en
Afrique, notamment francophone. Bravehill conseille
les grandes entreprises en Algérie sur différents
métiers : plans de financement, études de marché,
organisation, systèmes
d’information et études consommateurs.
Faderco compte exporter ses
produits vers
les pays
d’Afr ique
Source : Algérie Eco
Le leader du
marché du papier en Algérie, le Groupe
Faderco, s’est particulièrement distingué lors du
forum africain pour l’investissement, et ce par l’organisation
d’un workshop
entièrement dédié à la fabrication
et la transformation du papier, et l’ampleur de ce marché en
Afrique. Dans ce sens, l’expérience
de Faderco dans
le domaine, attestée par sa
gamme Cotex, forte de 21
produits au démarrage en
2012, dénote du niveau de maitrise des processus de production acquis par
la société. Notamment dans l’utilisation des deux
composants clé, l’eau et l’énergie.
A cela s’ajoute le composant essentiel, à savoir la cellulose et la maitrise technologique, soit
un équipement de haute qualité « il faut une bonne connaissance du
marché pour prévoir les réactions aux
lancement des produits. A cela il faut ajouter une bonne maitrise de la distribution pour une visibilité optimale des produits » explique un cadre dirigeant de la société.
Et d’ajouter « pour exister sur le marché, il est impératif
d’améliorer
constamment
la qualité de l’eau, elle doit être traitée et purifiée pour obtenir le
meilleur résultat
sur la qualité des
produits.
En outre, » nous
avons des capacités de stockage et de
recyclage à même de nous classer parmi les entreprise
éco-
responsables, et préservatrice de l’environnement
» a-t-il fait savoir.
Par ailleurs, « la vision de Faderco sur le marché africain se base sur la croissance de consommation en papier de
l’ordre de 6%
annuellement,
et sur l’adaptation de
l’équipement en
fonction de la progression
de consommation pour s’adapter au
marché, il faut une
technologie flexible, un équipement facilement renouvèle et une simulation du processus de fabrication et des impacts » indique l’équipementier
du
groupe Valmet,
Bernard Glifberg.
Avec une force de
frappe établi sur des produits
d’hygiène et dérivées
de coton, Faderco assure
les besoins de 80% de la consommation nationale, et vise à travers son plan de développement, et la gamme de ces
nouveaux produits,
et l’investissement de 70 millions de dollars pour la réalisation de l’usine de Sétif « Une partie de la production sera destinée à l’exportation, notamment vers les pays d’Afrique où il y a une forte
demande en
matière de pâte à papier, ainsi que vers l’Asie
», a
précisé le DG du groupe Mr Amor Habes.
En somme, la stratégie de la société Faderco, se base
également sur l’expansion
démographique nationale et
africaine, et sur
ses besoins en consommation domestique et industrielle de papier. C’est précisément
sur cette base qu’une intégration régionale, et entre
producteur, se profile à travers cette vision d’approche du
marché de l’industrie
du papier en Afrique.
Un comparateur spécialisé en smartphones et tablettes
Source : El Watan
Le premier
site
comparateur spécialisé en smartphones
et tablettes a été mis en ligne : www.prixalgerie.com. Il est le guide d’achat
complet qui va révolutionner le domaine de la téléphonie en Algérie.
Il est le seul site
comparateur de produits technologiques existant en
Algérie, un site créé pour les consommateurs algériens. Il présente
et compare
de manière exhaustive des
produits divers.
Le site s’adresse aux consommateurs
algériens, qui peuvent désormais accéder à des
informations claires
et comparer
les différents produits, ainsi qu’aux revendeurs en leur permettant de publier
leurs offres en un seul clic. La start-up algérienne Android DZ a relevé le défi. Après une année de travail
acharné, elle a réussi à créer un comparateur de prix de
smartphones et tablettes pratique
et
intuitif à destination des consommateurs algériens. Il permettra
ainsi aux utilisateurs de s’informer sur les prix, la
disponibilité et toutes
les caractéristiques des produits téléphoniques qui se trouvent sur le marché algérien en
lisant les derniers
articles rédigés sur un quelconque
produit souhaité
ou en visualisant les vidéos des tests
produits.
REGIONS
Oran : 16e édition du
Salon de l'automobile de l'Ouest «Autowest 2016»
Source : Le Soir d’Algérie
Une dizaine de
marques
de
véhicules légers
seront
présentes dès aujourd’hui
à la
1re édition du Salon de
l'automobile de l'Ouest «Autowest 2016», et
ce, jusqu’au 17 décembre. Le leader du marché des voitures
en Algérie Renault sera bien
évidemment présent, de
même que le concessionnaire sud-coréen Hyundai.
L’on note le retour
de
Chevrolet qui
tente d’avoir sa place dans le
marché
des véhicules. Sont également
présents Opel, Nissan, BAIC,
Saipa, IKCO et Lifan.
Pour les organisateurs, «cette édition Autowest 2016 aura
le privilège de mettre en
avant la production
automobile algérienne avec l'exposition d'un nombre
appréciable de marques et modèles de véhicules, motos et camions montés en Algérie et s'étalera sur plus de 10
000 m² de
surfaces d'exposition avec des stands
d'exposition en grande
majorité personnalisés, avec la
présentation
des
gammes les plus
complètes possibles, compte tenu
de
la situation actuelle du
secteur automobile et de chacune des marques présentes.
La moto,
le petit utilitaire et le camion
seront aussi
présents, lors de cette édition, en
force, sans
oublier la
presse spécialisée et les
services liés
à l'automobile: financement, assurances, géolocalisation, et autres».
Ghardaïa : Formation de 120 férus de
l’aquaculture
Source : Liberté
Organisé à l’initiative de l’association Tagemi,
en collaboration avec
les
chambres interwilayas
de la
pêche et des ressources halieutiques d’Ouargla, de Sétif et de Guelma ainsi que l’Institut des
technologies de
pêche de Collo (Skikda), un cycle de formation
en aquaculture intitulé “L’importance de la formation pratique pour la réalisation d’investissement productif”, troisième du genre, a débuté jeudi passé au profit de
120 férus de pisciculture de différentes wilayas à El-
Atteuf (wilaya de Ghardaïa). Selon les organisateurs,
ce cycle
vise
à accompagner
les
petites exploitations
dans les zones reculées
pour améliorer leur productivité et
rentabiliser leurs bassins d’irrigation
comme espace
d’élevage du poisson. Ces
espaces aquacoles réalisés dans les différents périmètres agricoles peuvent constituer
une source
de
revenus complémentaires
pour les agricultures et par-là même un élément crucial
pour le développement de
la productivité des produits agricoles, selon la même source.
L’État encourage cette forme d’activités dans les périmètres agricoles,
notamment
dans les
régions déshéritées,
en vue de
permettre
aux
agriculteurs
d’accroître leurs revenus et de diversifier leur production et également à la population continentale
de bénéficier de poissons. Il est également organisé une exposition des différentes expériences des participants venus de plusieurs
wilayas pilotes dans le domaine de l’aquaculture et de petits
ateliers dans le domaine
de l’élevage aquatique, en
présence des universitaires.